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Ceux qui lisent ce blog, heureusement ils ne sont pas très nombreux, doivent se demander si, par moment je ne fabule pas. D'une part je prétends être en cours de lecture de deux briques énooooormes et d'un Briggs et d'autre part (ça fait 3 briggsques arf! arf!) régulièrement je sors un texte sur d'autres livres. Bon! certains ont du voir que pendant 3 semaines je n'avais rien écrit faute de liaison ordinateur, et pensez-vous que pendant ce laps de temps je n'ai pas ouvert un bouquin ? Quelle drôle d'idée! Donc depuis deux semaines, je mets sur ce blog les petits textes que j'écrit toujours au brouillon et que j'essaie de peaufiner 3 ou 4 fois avant de les soumettre.
Un nouveau Kathy Reichs était dans ma PAL "voyage", et n'a duré que le temps d'une soirée au bord de la Côte d'Azur.
« Un drogué enterré, une clocharde noyée, un ancien policier pendu : il fallait bien tout le talent de Temperance Brennan pour distinguer, derrière la diversité des techniques utilisées, la main d’un même homme… »
Encore un, diront les mauvaises langues, mais je ne m’en lasse pas d’autant que je trouve les histoires de l’auteur de plus en plus consistante et son style nettement amélioré.
Cette fois-ci, Temperance Brennan, effectue, avec des étudiants, des recherches archéologiques dans une île de la Caroline, quand elle s’aperçoit qu’un des cadavres n’est pas un indien mort depuis des décennies mais un blanc décédé depuis peu.
Son ex la rejoint, il enquête dans la même région, sur un organisme humanitaire et la disparition de la fille d’un de ses clients fortunés.
Après la découverte du « suicide » d’un ex-policier et enquêteur précédent du-dit client, Temperance, de fil en aiguille ou plutôt de cadavre en cadavre, se rend compte que tous ont une fêlure d’une vertèbre qu’elle ne peut expliquer.
Enfin, Ryan son amoureux la rejoint à son tour ce qui entraîne quelques passes d’armes verbales et acerbes entre l’ex et celui qui pourrait mais qui n'est pas encore le nouveau.
Ce roman est ce que j’appèle, dans mon langage, un oignon. Il faut éplucher pelure après pelure pour obtenir un résultat final mais attention certaines pelures ne le sont peut-être pas et après les avoir retirées, elles peuvent vous faire pleurer de nouveau ou essayer de vous tuer.
Un des meilleurs de Kathy Reichs avec un petit bémol (j’ai toujours une pleine caisse de bémols en réserve) : Les motivations de ces meurtres ont déjà été utilisées dans un roman précédent, qui se passait en Amérique Centrale.
*ouais ** bon *** très bon **** j'aime
par Le Papou
