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Le dernier homme de Margaret Atwood

4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 21:55

Notre voyage prévoyait le tour du lac St Jean dans le sens des aiguilles d'une montre.

En cette journée qui s'annonce plus ensoleillée et plus chaude, nous démarrons, juste après les crêpes du matin, en direction du nord et trouvons enfin la fromagerie* de Saint Prime, que nous avions chercher en vain à deux reprises, pour nous procurer, à mon humble avis, le meilleur Cheddar vieilli du Québec,

* son nom sur demande seulement

 

Une visite de Normandin, village dont sont issus des membres ajoutés à notre famille, était prévue. C'est une ville jeune d'un peu plus de 130 ans et comme beaucoup de villes nouvelles agricoles, il n'y a pas grand chose à voir.

Nous rappelant des beaux ours blancs du zoo de St Félicien, nous envisageons de continuer vers la banquise pour leur rendre une petite visite amicale dans leur milieu naturel.

 

Après Saint Thomas de Dydime, nous nous arrêtons au Lac à Jim, là-haut au bout du bout de la route*, a été aménagé un lieu de villégiature certainement destiné aux inuits vue la température de l'eau en pleine période estivale.

* ou au boutte du boutte.

 

Notre carriole à moteur n'étant pas équipé de chenillettes pour les routes difficiles qui continuent vers le septentrion, et le fond* de l'air nous rappelant notre séjour avec les caribous, nous disons au revoir aux albes ursidés.

*Pourquoi parle-t-on du fond de l'air ? L'air n'a pas de fond.

 

 

Revenus à Normandin par le même chemin* qu'à l'aller, nous faisons route vers Dolbeau-Mistassimi, dont la seule attraction est justement la rivière Mistassimi. En dépit du GPS, nous nous égarons et trouvons le centre-ville au milieu des champs. La machine peut être excellente mais, parfois, elle s'avère aussi perdue que nous.

*Il n'y a en a pas d'autres

 

Sainte Jeanne-D'Arc est une petite commune où existe encore un vieux moulin à aubes qui se visite, entre un parc aménagé pour les piques niques et les rapides de la Mistassimi. Nous apprécions notre fromage acheté plus tôt.

 

 

Peribonka est plus connu, c'est le village de Maria Chapdelaine et de son auteur Louis Hémon*. Un musée lui est consacré mais ce n'est pas la première fois que nous nous cassons le nez. Le 24 juin semble être la date d'ouverture de plusieurs lieux d'intérêt. Tant pis !

* Un roman qui a certainement été une des causes de l'immigration de Français vers le Québec.**

**Il y eu aussi la chanson de Line Renaud, ''Ma cabane au Canada''.

 

Après avoir dépassé Ste Monique, nous ratons l'entrée du Parc national Taillon et continuons vers Alma, la ''capitale'' de la région. Nous souhaitons voir les jolis berges du lac et décidons de suivre au plus près une petite route qui devrait les longer. Finalement nous nous perdons dans un entrelacs de routes en ''cul-de-sac''.

 

 

Nous sommes presque sauvés pas le GPS qui nous emmène enfin vers l'auberge qui nous tentait. Je dis presque car à notre arrivée devant l'hôtellerie, la machine mentionnait encore 300 mètres à faire.

 

Jolie auberge, bel accueil, plage privée agréable, chambres spacieuses et matelas confortables*, un beau coin pour se reposer.

*important les matelas confortables.

 

Prochain billet : La croisière et la procession

 

 

 

 

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commentaires

Y
Belle balade, tu as vu l'endroit dont michel jean parle dans Elle et nous, le nom m'échappe là tout de suite ????
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Y
j'adore :-)
L
Tu parles de Masteuiasch ou Pointe-Bleue et oui, notre guide était prof de Montagnais et je sais comment on dit Lynx et mocassin de cette langue ''meshow'' (sous réserve de l'orthographe) C'est le même mot car avec des mocassins on marche comme un lynx. Joli non ? Le Papou