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Un livre vit grâce à la recommandation passionnée qu’en fait un lecteur à un autre.

Henry Miller

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Nouvautés dans ma PAL

Le dernier homme de Margaret Atwood

21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 15:57

À la petite génie clownesque, elle se reconnaitra. (Si! Si! Au féminin)**

 

Par moment, ce qui était un énorme plaisir est devenu pénible. Je devrais, comme certaines que je ne dénoncerai pas par peur de représailles, lire et ne plus écrire mes billets dans la foulée.

J’en connais qui lisent dix bouquins et écrivent un seul billet en pleurant sur leur sort et leur retard irrattrapable.


J’ai de plus en plus de difficultés à terminer mes textes, je les recommence, les modifie, une phrase par ci, un mot par là, un accord pas accordé,  un complément devenu sujet et un sujet, complément et puis vaguement écœuré j’abandonne l’enfant  sur la toile. Je soumets à l’adoption générale cet orphelin immature.


‘’Vingt fois sur le métier, remettez votre ouvrage’’ écrivait Boileau. Vingt fois ? Quel génie ! (Que je n’ai jamais lu ou alors il y a longtemps, dans une autre vie ou bien, je n’en ai plus souvenirs)


Ce blog, qui ne savait pas trop ce qu’il allait devenir et s’épivardait en chroniques de voyage, en recettes de cuisine simples et rapides, et en CDG* de mon compère Hubert Le Hibou, n'est devenu, au fur et à mesure, qu’une suite de ‘’critiques’’ littéraires.


J’ai déjà passé des heures à lire d’autres blogs (moins maintenant), ajoutant, à ma liste, un nouveau mentionné par le précédent. J’y ai rencontré des auteurs, le terme n’est pas trop fort, drôles, intelligents, cultivés et même (oserai-je ? oui, j’ose) kulturés connaissant l’ancien saxon, le noroit antique ou le bas moldave. Je leur ai même donné des surnoms, la gaffeuse, la petite génie clownesque (mentionnée en exergue), la mélomane, le papillon, l’oiseau, etc..

(Le masculin n’est qu’un effet de style et un appauvrissement dû à Bescherelle ou à tout autre grammairien sclérosé et vous pouvez devez mettre au féminin tout ce paragraphe. D’ailleurs, la suite va l’être.)

 

En le disant ou silencieusement, certaines ont disparu, emportées par leur vie trépidante et leurs amours contraignantes. C'est comme perdre des amies, même si on ne les connait pas, même si on ne les rencontrera jamais.

 

Et pour celle(s) qui veulent abandonner par écœurement parce que leur(s) petit(s) cœur(s) mou(s) a été déçu(s) et meurtri(s) par la connerie humaine, je citerai deux pensées de nos grands philosophes du siècle dernier :


‘’On dit toujours qu'on peut pas être et avoir été. Eh ben, j'en connais un, dis donc, il a été con et il l'est encore !’’

Coluche

 

Et cette autre où l’on peut remplacer vestimentaire par culturelle et s’habiller par penser :

‘’La caractéristique vestimentaire culturelle du con consiste en un besoin irrésistible de s'habiller  penser comme tout le monde.’’

Desproges

 

N’abandonnez que si vous êtes vraiment tanné de bloguer pas parce que des cons vous perturbent avec leurs insanités et leurs grossièretés.

 

Je vous aime et je vous embrasse !

 

* CDB aurait été plus réaliste

** Ça commence par un F et se termine par un N)

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27 décembre 2011 2 27 /12 /décembre /2011 22:18

Cadeaux.jpg

ilsvienneatoi.com

 

Je profite de ce billet pour offrir, à tous ceux à qui je ne l'ai pas encore fait, tous mes voeux pour cette nouvelle année, avec de jolis moments de lectures, des petits plaisirs et même des gros, et surtout du bonheur, beaucoup de bonheur.

Le Papou

 

Mon plus beau cadeau triste de Noël

 

Aujourd’hui c’est Noël. J’ai 7 ou 8 ans et j’attends avec impatience mon cadeau; un, chez nous, c’est déjà beaucoup.

Je ne crois plus au Père Noël mais je ne dois pas en parler, car ma petite sœur est plus jeune de cinq ans. Alors je me tais, je n’ai pas envie d’être puni. Ce n’est pas le moment.

Mes parents ne sont pas très riches, et mon cadeau a été souvent plus utile que ludique mais cette année-là j’ai une drôle d’impression. J’ai dû le comprendre quand il m’a fallu être encore plus sage que d’habitude, sinon pas de cadeau.

Une pièce de vêtement ne m’aurait rien fait, cette insistance m’a mis la puce à l’oreille.

Au déballage des cadeaux, je suis fou de joie. Imaginez ! Une diligence qui avance toute seule avec des cow-boys qui pétaradent des coups de feu avec des étincelles ; une merveille.

Quatre chevaux et un conducteur, sur le toit un tireur allongé et par la fenêtre un autre tireur, le tout en métal avec de magnifiques couleurs, bon, d'accord, la plus grande partie de la diligence est dessinée sur du métal mais c'est quand même le plus beau jouet du monde.

Je passe le reste de la journée à assourdir la maisonnée.


Le lendemain, la diligence n’avance plus et les cow-boys sont devenus silencieux, je n’ai jamais su ce qui c’était passé.*


Ce fut le plus beau Noël de mon enfance et aussi le plus triste.

 

 

* Des soupçons mais pas de preuves.

 


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25 décembre 2011 7 25 /12 /décembre /2011 16:18

''Eleni'' de Nicolas Gage


J’ai essayé, j’ai vraiment essayé.

Je l’avais trouvé dans ma bibliothèque de Dordogne. Qui l’avait amené ?


J’ai été tenté de le lire parce que l’auteur, d’origine grecque, émigré dans sa jeune enfance aux États-Unis et devenu journaliste américain, était parti enquêter sur l’exécution de sa mère pendant la guerre civile qui a sévi à la fin de la dernière guerre mondiale.

Et puis ce livre venait chatouiller mes racines. Maman était arrivée en France vers l’âge de 6 ans, chassée avec mes grands parents du territoire où vivaient nos ancêtres depuis plusieurs générations. Des genres de pieds-noirs d’Asie Mineure, des réfugiés mal-aimés dans leur pays d’exil qui ne les acceptait pas et qui ont préféré s’expatrier de nouveau.


J’ai donc essayé, j’ai vraiment essayé et finalement j’ai abandonné, malheureux, car je n'abandonne que très très rarement une lecture.


Des 150 premières pages, seulement une dizaine m’ont intéressé, celles qui concernaient directement sa mère. Je souhaitais une histoire, je lisais de la petite histoire de chefaillons communistes ou nationalistes qui se massacraient allègrement, entrainant derrière eux des paysans analphabètes qui n’y comprenaient rien.

 

Une autre fois peut-être.

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 15:32

Je cède le clavier au Béotien, mon alter ego pour qui le mot culture a un rapport direct avec la campagne agricole.

 

Pourquoi me suis-je lancé dans la vie de Marie-Antoinette par Stefan Zweig ?

Elle n’a jamais fait partie des personnages historiques que j’ai aimés ou qui m’ont intéressé.


Seulement voilà, dans notre monde des blogs, Stefan Zweig paraissait incontournable et je n’en avais jamais rien lu. Il y a peu, il ne se passait pas une semaine sans qu’une blogueuse n'écrive un billet enthousiaste sur une de ses œuvres.


Seulement, un certain nombre d’auteurs, parmi les plus connus, offre un style d’écriture qui me fatigue et m’endort, ce qui est séduisant en cas d’insomnie. En était-il ou non ?

Dans sa bibliographie, je choisis une de ses œuvres sur un personnage historique en me disant qu’au moins j’en tirerai quelques savoirs.

 

Je ne sais pas ce que pensent les historiens purs et durs de cet ouvrage mais, si nos manuels scolaires sur l’Histoire étaient aussi bien écrits, cette matière, fort décriée au demeurant, n'en serait pas plus aimée, mais le vocabulaire des élèves s’amélioreraient nettement.

 

Parfois j’ai du faire des recherches pour comprendre les images ou les termes de Zweig, en voici quelques exemples :


Une goutte de poison digne de l’Arétin* : Le Béotien que je suis, connaissait quand même le nom et les œuvres érotiques de cet écrivain (?) mais pas qu’il était un empoisonneur. Erreur de compréhension! Cette expression désigne des écrits satiriques dont cet auteur, qui n’était pas boulanger mais un peu maître-chanteur, faisait son pain quotidien.

 

Utiliser des termes comme ‘’pandour’’  pour qualifier un homme aux manières rudes et brutales ou ‘’marchand d’orvietan’’ pour charlatan, ou écrire que le comte de Provence, frère du Roi, eut un rôle méphistophélique, ne pourraient qu’over-améliorer notre langue, genre !

 

J’ajouterai que dans quelques cas je suis resté perplexe, ainsi écrit-il :

’et dans l’art… des Phéaciens de prendre la vie à la légère’’

Les Phéaciens, mentionnés dans l’Odyssée, selon Wikimachin, étaient un peuple de passeurs réputés et peu sociable. (?)

Bon, d’accord il m’arrive d’être peu sociable ou de prendre la vie à la légère mais jamais en même temps.

 

En conclusion, je ne sais pas si je vais apprécier les romans de Stefan Zweig, dont l'écriture confine parfois à la préciosité, ce qui n’est pas rédhibitoire mais pourrait le devenir si ses histoires, ses personnages et leurs dialogues l’étaient aussi.

 

Je vais donc essayer et je fais appel à des âmes complaisantes pour me donner quelques conseils et surtout quelques titres.

D'avance, merci.

 

Le Béotien

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 15:16

Entre la mi-octobre et la mi-novembre à quelques siècles près, j’ai lu une palanquée de bouquins, des faciles, d’autres moins, une série de polars pour me reposer les neurones, quelques nouvelles, peu de coups de cœur mais pas de grands coups de gueule non plus. La plupart de ces dernières lectures étaient intéressantes ou amusantes et parfois même passionnantes.

 

Pendant cette période, j’ai laissé trainer plusieurs ouvrages sur diverses tables, vaguement entamés, attendant sagement mon bon vouloir et un peu de courage. Ce n’était pas par déplaisir mais j’étais atteint de boulimie livresque. Je prônais la quantité au détriment d’une certaine qualité.

 

Afin de calmer ma pseudo maladie, j’abandonnais les lectures ardues qui m’obligeaient à étudier, à réfléchir et si possible à mémoriser, car, disons-le, en dehors de quelques légères informations ethnologiques sur les Jivaros (pardon! Le Shuars), zoologiques ou botaniques sur l’Australie, historiques et sociologiques sur l’Amérique latine, je ne lisais que des contes, des romans, de simples histoires dont l’intérêt n’était que cela : la lecture pour la lecture, la lecture pour le plaisir.

 

Je me suis bien demandé pourquoi et je ne vous donnerai pas le résultat de mes cogitations, mais je viens de replonger dans la vie de Marie-Antoinette.

 

Je vais donc être moins présent sur ce blog intercalant entre des lectures faciles et rapides des livres plus denses, plus complexes comme :

 

 ‘’Marie-Antoinette’’ de Stefan Zweig que j’ai cherché longtemps, juste pour savoir si sa plume me plairait suffisamment pour entreprendre ses œuvres romanesques.

‘’L’histoire des Cathares’’ de Michel Roquebert arrivé dans ma Pal par accident et par l’entremise de Tata Cocole que je remercie.

‘’Eleni’’ de Nicolas Gage, sur la guerre civile grecque et l’exécution  de sa mère qu’il a peu connue.

‘’Aliénor d’Aquitaine’’ de Jean Fiori, que j’avais commencé alors que j’étais tombé en amour avec cette reine. Veuillez noter que, pour une fois, Dulcinée n’était pas jalouse comme avec Kathryn Morris. Kathryn qui ?

 

Moins de chroniques et si possible plus courtes, cette deuxième assertion sera dure à tenir mais comme disait Yogi B.* : ‘’Il n’y en aura pas de faciles’’ (Affirmation négative que j’utilise fréquemment.)


* Qui est ce Yogi B. ? Est-ce un ours ? Que nenni. Est-ce un philosophe ? Que non. Est-ce un pratiquant du Yoga ? Même pas.  Mais qui est donc Yogi B. dont l’œuvre ne se résume pas qu'à cette seule phrase ?

Tenez ! Je vous en donne une autre :

‘’Allez toujours aux enterrements des autres sinon ils ne viendront pas au vôtre’’

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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 16:19

Comment se fait-il que je n’ai pas été tagué cette semaine ?

L’une d’entre vous que je ne nommerai point, n’étant pas un délateur, avait répondu à mes ‘’si j’étais’’ par pure courtoisie aussi est-ce avec moult plaisir que je réponds aux siens.

 

Si j’étais une devise :

sans conteste, Honni soit qui mal y pense. Je sais, c’est la devise du

souverain d’Angleterre, mais c’est avant tout celle de l’ordre de la Jarretière et

il me plait qu’un ornement de dames (un peu dépassé, soit ! mais ornement quand même) puisse être porté au cou des hommes.


Si j’étais un vin blanc :

Je suis plutôt rouge que blanc. Mais je ne dédaigne pas un bon Pouilly

Fumé, un Chablis enfin ...je n’en dédaigne aucun…hic!


Si j’étais un jour de la semaine :

Facile, il n’en existe que 7… difficile ... quand on est à la retraite.

Pas le lundi, ça me rappelle trop le boulot, pas le vendredi que

j’ai tant aimé quand j’y allais, ni le samedi et le dimanche, j’en profitais déjà avant. Je choisis…amstramgram : le Mercredi.


Si j’étais un animal de la savane :

Une girafe (mâle, bien sur)…J’ai toujours voulu être grand, ce n’est pas que je sois petit mais il y en a, surtout maintenant, qui voit le monde de haut, peut-être même de trop haut. Il y en a même des tous petits qui s'imaginent qu’ils sont grands.


Si j’étais un musée :

Celui où j’ai refusé de faire la queue toute une matinée pour pouvoir entrer :

la Galerie des Offices à Florence. Regrets !


Si j’étais un tableau de Monet :

Mes connaissances picturales sont très sommaires. Je connais ‘’Bain à la Grenouillère’’ dont le titre m’avait plu parce que je savais où était ''La Grenouillère'' et ‘’Impression soleil levant’’. Comme tout le monde connait le deuxième je choisis l’autre.


Si j’étais une rue de Paris : Notre première adresse à Dulciné et

moi-même : la rue de l’Abbé Groult dans le 15ème avec le quartier de Vaugirard en entier.


Si j’étais un département français :

La Dordogne. Les quelques qui me lisent le savent.


Si j’étais une couleur :

Jaune orangé, déjà mentionné dans un autre tag. Le rose que j'aime aussi ne

fait pas assez macho.


Si j’étais un arbre :

Ayant déjà choisi le figuier, je serai cette fois un noyer que je considère

comme l’emblème sylvicole de la Dordogne et si certains sont jaloux alors je

prendrai le châtaignier. Gare à la châtaigne !

 


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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 16:13

La mode étant aux ''séries''

Tagué deux fois, après le cheval de feu c’est l’oiseau-lyre, un vrai zoo.

J’aurai pu copier mon texte mais les tites vlimeuses n’ont pas les mêmes questions. Après avoir été un vaisseau spatial, une bibliothèque, un arbre, un immortel, une couleur verte, une étoile, une citation, un dieu, un hobbit ou une faute de frappe, je devrais devenir 1) Une chanson ; 2) Un plat ; 3) Un mot inavouable en public ; 4) Un proverbe ; 5) Un espoir ;  6) Un pays ; 7) Pénible ! 8) Une odeur ; 9) Un des sept péchés capitaux ; 10) Une lectrice pas raisonnable.

Je fais court :

Si j’étais une chanson : Dépendant de mon humeur ;

Heureux : Gare au gorille

Triste : la complainte de la butte

Poétique : Le petit cordonnier

Si j’étais un plat :

Du foie gras

Si j’étais un mot inavouable en public :

‘’Promesse’’ souvent synonyme de mensonge .

Si j’étais un proverbe :

À chaque jour suffit sa peine ou

Pourquoi remettre au lendemain ce qu’on peut faire le …surlendemain.

Si j’étais un espoir :

Si c’est comme un vœu, je pense à Lou, sinon aimer Jane Austen comme certaines quand je vais le lire…Ça devrait plutôt être dans Si j’étais un doute.

Si j’étais un pays :

Le Périgord libre ou la Grèce, pour diverses raisons ancestrales.

Si j’étais pénible :

Je le suis déjà et

Ce que je trouve de pénible :

Les promesses que l’on donne en sachant qu’on ne les tiendra pas.

Si j’étais une odeur :

Celle d’une rose en train d’éclore

Si j’étais un des sept péchés capitaux :

La colère mais je me soigne

Si j’étais une lectrice pas raisonnable :

L’inverse n’étant pas compatible, toutes devraient être mentionnées mais je choisis…l’Héritière. Oui ! Je sais, ce n’est pas juste mais comme dit mon maître* ‘’La vie est trop injuste’’

 

*   Philosophe noir bien connu et chapeauté d’une coquille.

 

J’ai oublié de faire des liens vers les sites de celles que j’ai taguées la première fois donc :

Allie, Pimpi, Kikine, Pyrausta, Lystig (désolé je suis) et Sylire.


Pour les questions voir :

http://srv05.admin.over-blog.com/index.php?id=1275124279&module=admin&action=publicationArticles:editPublication&ref_site=1&nlc__=401321197997



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12 novembre 2011 6 12 /11 /novembre /2011 22:50

Bon! Manquait plus que ça ! Tagué.

J’ai souvent lu les réponses so-intelligentes comme dirait une Bleuette pour ne pas dire over-intelligentes, restons modeste, que j’espérais bien continuer à être ignoré dans mon petit arpent de neige (pas encore) froid (déjà).

Seulement voilà, Madame Yue Yin dont je connais certains secrets comme par exemple que c’est un cheval de feu dans l’astrologie chinoise et de facto une faiseuse ricaneuse de problèmes a mentionné mon pseudo avec des demandes pour un tag chinois aussi farfelu qu’inimaginable sauf dans le cerveau d’un ''caballo de fuego''.

Comme je suis un ‘’bon garçon’’, prenez note que l'adjectif gentil est à prohiber me concernant, je vais essayer de répondre.

J’ai déjà beaucoup de mal à écrire mes billets de lecture alors …


Si j’étais un vaisseau spatial : La plus facile, je serai le Faucon Millenium pour connaître la princesse Leia et Chewbacca.


Si j’étais une bibliothèque ??? Comment une bibliothèque ? Comment peut-on être une bibliothèque ? Je ne serai jamais une bibliothèque mais, par contre, je me vois très bien vivre dans une bibliothèque. Une petite cuisinette près des livres de recettes, un lit, pour les romans,  situé à mi-chemin entre les L et les N pour des déplacements courts, un profond fauteuil près des livres policiers, une salle de bain confortable, cet endroit de prédilection pour la lecture. Comment ? La réponse n'est pas correcte! Ok, je serai la bibliothèque nationale, d'abord.


Si j’étais un arbre : J’ai failli dire un chêne parce que il est grand, beau, fort et Lesaint.jpgsage, n’est-ce pas là que Louis le neuvième dit Le Saint (peut-être je confonds) rendait la justice mais finalement je choisis pour des raisons privés, personnelles et moralement indéfendables???  le figuier


 

Si j’étais un immortel : Outre que l’idée ne me déplairait pas, surtout à ce moment de ma vie, je choisis Connor Mc Leod, tant pis pour ceux qui ne le connaisse pas.


Si j’étais la couleur verte : Encore une drôle d’idée Yueyinesque , le vert n’étant pas ma couleur préférée qui plus est, en colère (ce qui est très très rare) je suis plutôt rouge voir bleu ou noir et ma couleur préférée est le jaune orangé. Mais bon, puisque vert il faut, je dirais vert Granny Smith (publicité non payé) qui reste ma pomme préférée.


Si j’étais une étoile : J’ai failli dire Marilyn Monroe, il y a bien longtemps, ou Kathryn Morris, Kathryn qui ? Mais j’ai du confondre étoile et star, ce qui n’a rien à voir et je m’imagine la réaction de Madame Yue Yin…Pfffttt! Si j’étais une étoile, donc,  je serai Sirius, je sais, ce n’est pas très imaginatif, mais c’est la plus brillante, voire la plus belle, connue depuis la nuit (ah!ah!ah!) des temps et considérée comme une déesse dans certaines civilisations antiques.


Si j’étais une citation : Est-ce que quelqu’un à inventer le mot coluchade, Coluche le mériterait, certaines sont grossières, d’autres outrancières  mais presque toutes sont populaires (dans son sens premier) et je serai :

C'est pas parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raison !

 que je complèterai par : ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à vouloir avoir raison qu’ils n’ont pas tort.


Si j’étais un dieu, je le fus à une lointaine époque avant d’être viré de mon Olympe personnel. Je serai un dieu des indiens d’Amérique, comme Manitou (le plus connu) ou Wacanda ou Tonenili, enfin un dieu de la nature.


Si j’étais un hobbit je serai Sam Gamegie pour sa loyauté, son courage et son amour pour ses amis mais j’aimerai être dispensé des grands pieds poilus, les miens sont déjà assez gros comme ça.


Si j’étais une faute de frappe je serai le chachacha des thons, les ceusses qui ne connaissent pas cette chanson devraient l’apprendre et ensuite la fredonner quand ils regardent les ébats politiques (oups!) les débats politiques  (et deux fautes de phrappe dans la même frase, deux !)

 

Je connais peu de monde, alors si certain(e)s ont déjà participé, qu’elles me pardonnent : Allie, Kikine, Pimpi, Pyrausta, Lystig, Sylire, c’est à vous et si ça ne vous tente pas ce n’est pas grave, moi je me sentais obligé à cause d’un brûlant équidé.

 

Les ‘’si vous étiez’’ maintenant

1) Une route (un chemin fera l’affaire si vous préférez) 2) un site 3) un animal préhistorique 4) une pièce de la maison 5) un acteur que vous détestez 6) un objet inutile 7) une fête sans cadeau (Noël et les anniversaires des ti’bouts, trop faciles) 8) un champignon 9) un défaut et 10) un dessert rouge

 

Comme disait Yogi Berra ‘’Y’en aura pas d’faciles’’


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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 18:23

Je l'avais relue et corrigée plusieurs fois, comme souvent, et j'étais presque content de la dernière mouture. Presque, car je ne le suis jamais tout à fait.

 

Parfois je trouve une tournure de phrase, super, extraordinaire, merveilleuse, digne d'un grand écrivain... euh, j'exagère peut-être un peu.

 

Si je ne l'écrits pas tout de suite, elle disparait dans les circonvolutions de mon cerveau, côté mémoire et ne revient que plusieurs jours plus tard voire jamais.

 

Je suis presque certain que j'en avais trouvé une, ce qui, pour moi, est déjà beaucoup et ce matin j'ouvre overblog, je pitonne* sur le brouillon d'article et n'apparait que la fin soit le post scriptum et les *** dont je suis friand et qu'on retrouve régulièrement dans mes chroniques.

 

MAIS OÙ DONC CE *&?%$#! D'OVERBLOG A T-IL FOURRÉ

MON !@#$%# D'ARTICLE

 

* (friand ai-je dit) Pitonner en québécois : appuyer sur un piton ou une touche



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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 18:01

J'ai toujours aimé ce morceau et maintenant je l'adore !

 


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