Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le Hibou et le Papou
  • : les C.D.G. du HibouLes Voyages du PapouLes Commentaires du Hibou et du PapouQu'est ce qu'on mange ?
  • Contact

Recherche

Texte Libre

Un livre vit grâce à la recommandation passionnée qu’en fait un lecteur à un autre.

Henry Miller

Archives

Nouvautés dans ma PAL

Le dernier homme de Margaret Atwood

19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 16:26

Depuis une semaine se passent à Vancouver les Jeux Olympiques d’Hiver que je regarde à la télé, étant devenu, avec l’âge, plus un sportif de salon qu’un participant.

Hubert, mon hibou favori, a horreur de la télé, sauf pour les émissions animalières où il espère intensément voir un de ses congénères ou à la rigueur une chouette.

Dis donc! il y a une émission que je voudrais voir sur TV5 me dit-il

Tu vois! je regarde du patinage de vitesse

Et ça va durer longtemps ces jeux

Encore une bonne semaine, pourquoi?

Je ne comprends pas, je ne t’ai jamais vu regarder du ski ou du patinage, à la rigueur du hockey et même du curling. Comment peux-t-on regarder du curling ?

J'élude cette question qu'il n'est pas le seule à me poser.

Parce qu’on ne voit ces sports-là que tous les quatre ans pour les Jeux Olympiques.

Et pendant quatre ans, que font-ils ces skieurs et ces patineurs ?

Ils skient et ils patinent mais ça n’intéresse ni la télé ni les journalistes sportifs des journaux.

Alors pourquoi pendant les jeux ?

Tout d’abord ils sont sur place, tout frais payés, ce qui n’est pas souvent le cas pour les autres compétitions. Ensuite aux Jeux Olympiques, on remet aux 3 premiers des médailles que tout le monde comptabilise au nom du pays. Enfin pendant 15 jours, une grande partie de la population qui se fout pendant quatre ans des résultats sportifs s’y intéresse, pas à cause du sport, mais parce que c’est un événement médiatique mondial.

Donc pendant quatre ans le monde s’en fout.

Exact et pendant 15 jours, on peut chanter sur tous les toits combien son pays est sportif, d’ailleurs on nous passe surtout des compétitions impliquant des canadiens.

Et des américains

Ouais! Mais le Canada ne fait-il pas partie de plus en plus des U.S.A. ?

Il se tourne vers le poste de télévision puis tournant sa tête à 180 degrés il me refarde et dit doucement:

Tu veux bien me mettre mon émission, dis?

la publicité et les commentaires des journalistes ou spécialistes prenant largement plus de la moitié du temps d’antenne et les résultats des canadiens étant mentionnés « ad nauseam » je me dis que je ne perdrais rien à lui faire plaisir.
Partager cet article
Repost0
13 février 2010 6 13 /02 /février /2010 20:03

Le 14 février c’est la fête des amoureux et ma dulcinée y tient beaucoup.

Il n’est pas question que je l’oublie ce qui serait le comble du comble puisque mes ancêtres m’ont donné comme nom patronymique celui de Valentin.

Enfant trouvé ou ascendance latine, personne ne sait, mais chaque année, dès le début du mois on commence à m’en parler, si bien que même si je ne sais plus quel mois on est, tout le monde me le rappelle allègrement.

C’est un patronyme courant que l’on trouve un peu partout en Europe mais très peu au Québec.

Le nom vient du latin « valens » qui veut dire plein de force.

Deux saints ont été martyrisés sous ce nom, et sont souvent confondus. Le premier serait mort le 14 février 270 et le deuxième en 273.
Partager cet article
Repost0
9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 20:21

Lors d’un texte précédent, j’ai parlé d’obligations telles que la tonte du gazon, le pelletage de la neige ou le ramassage des feuilles et du temps qu'il faut trouver pour les faire.

Pour le gazon, j’aavais bien envisagé d’acheter un mouton, mais il aurait fallu tondre ce dernier ce qui serait revenu à déplacer l’obligation, sans compter.

On n’a, en général, que le week-end pour couper l’herbe. Avez-vous remarqué que le samedi matin, en vous levant, il pleut à boire debout, et le beau temps ne revient que le lundi matin.

Quand enfin le soleil vous fait la faveur de briller au bon moment , vous devez passer la tondeuse deux fois car l’herbe est devenue trop haute, que du plaisir !

Dans la même veine, c’est le jour, où vous décidez de ramasser les feuilles tombées des arbres, que le vent se lève, force tempête. On  attend et on espère que tout sera soufflé sur les terrains des voisins, mauvaise pioche et l’action brutale du vent fait qu’on a plus de feuilles qu’avant.

Les chutes de neige surviennent n’importe quand, mais là encore, vous commencez par dégager l’espace dont vous avez juste besoin. Quand enfin, un samedi ou un dimanche, vous réussissez à nettoyer complètement les abords de votre demeure. Le lendemain, vous admirez 15 cm de neige immaculée et la congère d’un mètre de large que les engins de déneigement, en nettoyant la rue, ont laissé devant chez vous.

Au printemps on déshabille le terrain que l’on avait abrié pour l’hiver, on gratte l’herbe, on ne parle plus de gazon depuis que les fongicides, insecticides et herbicides sont interdits.

On regarde les pissenlits qui année après année vous envahissent un peu plus.

On admire les trous creusés par les moufettes qui, la nuit, cherchent les vers blancs qui leurs sont un régal.

Vers blancs du hanneton européen qui est venu domestiquer nos terrains au détriment du hanneton américain plus petit et plus sensible au grand froid.

Écologiquement c’est excellent, esthétiquement c’est de la merde.

Et puis un jour, on s’assoit dans un fauteuil bien confortable, un verre de notre boisson préférée dans la main, et on reste en admiration devant tout le travail qui reste à faire et qui attendra que le courage nous revienne.

Partager cet article
Repost0
3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 05:44

Hubert était posé sur le bar, l’air gêné.

Dis moi, on parle de chômage dans le journal, on dit même qu’il augmente dans de nombreux pays. C’est quoi le chômage ?

Nous les humains, pour pouvoir manger, il nous faut échanger la nourriture contre quelque chose, et pour en avoir on doit travailler. Si on perd son travail, on est au chômage.

Et c’est quoi la retraite ?

Quand on travaille longtemps, on a le droit de se reposer, on n’est plus au chômage, on prend sa retraite.

Comme toi alors !

Exact

Je viens de lire que pour lutter contre ça, vos gouvernements ont décidé de retarder les départs en retraite. Il faudra travailler plus longtemps.

Hubert semble s’endormir, ses yeux mi-fermés regardent dans le vide

C’est tout Hube ?

Attend je suis en train de réfléchir, finalement je crois que je vais avoir besoin de quelqu’un de plus intelligent que moi, pour comprendre.

Si je peux t’aider.

Je te fais deux simples opérations de calcul:

 moins de travail et plus de travailleurs = chômage

Plus de demandeurs d’emploi + moins de départ à la retraite = chômage

Donc quand les gouvernements disent que leur priorité est de combattre le chômage, ils ne le combattent pas, ils font tout pour qu’il augmente.

J’ai lu deux exemples que je ne comprenais pas : d’abord  en Espagne, le chômage atteint presque 19 % de la population et le gouvernement vient de voter une loi faisant passer l’âge de la retraite de 65 à 67 ans.

Ensuite en France, le gouvernement prévoit une augmentation du chômage mais souhaite

aussi augmenter le temps de travail.

Je n’ai qu’une explication à te donner, les gouvernements qui vivent déjà au-dessus de leur moyen, préfèrent verser des allocations chômages que des pensions de retraites parce que les premières coûtent moins chères et ne durent que pour un moment déterminé dans le temps.

Qu’ensuite  ceux qui n’ont pas trouvé de travail ou ceux qui l’ont perdu depuis longtemps ne touchent pas de chômage. À la place on leur donne des sommes dérisoires qui leur permettent de crever de faim plus longtemps.

Heureusement que tu as pris ta retraite!

Oui ! Et tu ne sais pas le plus beau, les députés, qui votent les lois, se sont votés une allocation de chômage pendant 60 mois alors que les travailleurs ne l’ont que pendant 6 mois.

De plus ils préparent une loi pour que les  travailleurs touchent leur retraite qu’après 41 ans de travail et de cotisations, et eux la reçoivent après seulement 5 années de cotisation.

C’est une honte !

C’est toi qui le dit.

Partager cet article
Repost0
2 février 2010 2 02 /02 /février /2010 00:19

Il y a eu un avant et il y aura un après, la retraite étant cette frontière ou petit à petit les actions, les réactions, les désirs, sont insensiblement en train de changer.

Pendant des décennies on est soumis à des horaires de fou pour le travail, les enfants, le ménage, le lavage, le repassage, les courses, le gazon, la neige, laver la voiture, nettoyer le terrain au printemps, ramasser les feuilles en automne etc.

Soyons bien clair, je ne me suis jamais senti obligé par certaines de ces obligations.

Heureusement, ma douce et tendre avait et a toujours, le courage d’une lionne, la volonté d’un éléphant et l’amour d'une inséparable. Pour compléter l’animalerie je dirai qu’elle et l’héritière sont de vraies panthères si on touche à leurs progénitures.

Le travail, l’emploi, le boulot, le turf, le turbin, le chagrin m’ont occupé, en moyenne, dix heures par jour pendant plus de quarante années. (Je dis quarante années, c’est plus long que quarante ans)

D’un seul coup c’est le calme plat.

Soudainement on a du temps, même si on ne veut pas, pour couper le gazon ou nettoyer la neige. Heureusement on trouve des coupeurs de gazon pour la saison estivale et des pelleteux de neige pour la saison hiémale.

Nous qui avions essayé sans arrêt de trouver du temps, celui-ci nous rattrape et nous dit : que vas-tu faire en faire ?

Toute cette digression pour vous dire que pendant des années j’ai lu beaucoup, mais je n’ai lu que du facile. Je ne regrette rien car j’ai aimé, j’aime et j’aimerai encore cette littérature. Intérêt qui commençât il y a bien longtemps avec la collection « fleuve noir » et surtout avec San Antonio, Hubert Bonnisseur de la Bath, Coplan etc.

Il y eut quelques petits bijoux dont je vous parlerai peut-être un jour.

Que vais-je faire de tout ce temps ?

J’ai déjà commencé par aller dans ce Périgord paternel ou l’héritage m’a fait cadeau d’une petite maison dans un hameau perdu, et j’ai bien l’intention d’y passer au moins deux mois par an à parler aussi bien aux humains qu’aux vaches qui m’avoisinent. Eh! Oui, je parle aux vaches, je ne sais si elles me comprennent mais parfois elles me répondent.

Au fait je parle aussi aux chiens, aux chats et à n’importe quel animal, même aux oiseaux: comment s’appelle cette maladie, docteur ?

Je vais voyager très loin, au moins, tant que je pourrais le faire, surtout pour regarder comment les gens y vivent.

Je vais lire d’autres romans, et peut-être relire les classiques de ma jeunesse.Dumas (ah! Les trois mousquetaires) en fera parti, Balzac, Stendhal ou Zola, j’ai des doutes.

Je vais continuer à étudier les amérindiens, et commencer par choisir quelles ethnies deviendront ma priorité.

Je vais, non apprendre, mais étudier, l’occitan et plus particulièrement le patois périgourdin langage de mes ancêtres paternels et pourquoi pas le grec de mes ancêtres maternels.

Le temps, quel temps ? Excusez-moi, je n’ai plus le temps.

Partager cet article
Repost0
23 janvier 2010 6 23 /01 /janvier /2010 15:44
En allant à Collonges-La-Rouge, nous frolions Brives-La-Gaillarde. Pourquoi ne pas s'arrêter quelques instants à son marché tel que vu par Georges Brassens?

Bonne écoute !



Partager cet article
Repost0
13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 16:46

- Hubert ! Pourquoi ricanes-tu dans ton coin ?

- Je m’amuse, je lis les articles politiques dans les journaux et je m’amuse.

- Puis-je savoir ce qui t'amuse, bel oiseau de proie ? La politique ce n’est pas très drôle.

- Oh si ! Oh si ! Tiens écoutes : La population élit des représentants pour prendre des décisions, d’accord ?

- Oui  Ça s’appèle la démocratie.

- Mais quand elles sont prises, elles sont toujours critiquées et les élus passent pour des cons.

- Tu exagères un peu

- Non ! non ! regardes l’histoire de la vaccination et puis celle des décisions suite au dernier attentat manqué.

- Si je te comprends, il faudrait penser qu’avant de prendre les élus pour des cons, on devrait d’abord penser que c’est nous qui les avons élus.

- Cela serait un début. De toute façon, ils seront toujours perdants. Ainsi si gripette cochono-mexicaine avait fait beaucoup plus de morts, c'aurait été de leur faute par manque de prévisions épidémiques. Là ils sont responsables d’avoir prévu une épidémie trop dramatique.

- Je te comprends, pour les attentats, si tu augmente les contrôles, la fouille et retarde les avions, tu emmerdes le monde mais s’il y a un attentat tu es responsable de ne pas avoir pris ces fameuses décisions emmerdantes.

- Exact et puis tu t’aperçois que les critiques, journalistes en général, évitent de proposer des solutions alternatives. Pourquoi ?

- ???

- Parce qu’on  a des élus pour cela.

Partager cet article
Repost0
1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 18:16

L’année 1920 fut une année difficile en Turquie, surtout pour les étrangers. Ils furent ou massacrés ou si ils étaient chanceux, extradés dans leurs pays d’origine, lesquels ne souhaitaient pas forcément les recevoir. Certaines familles vivaient là depuis plusieurs générations et n’avaient plus aucun contact avec le pays de leurs ancêtres.

Mr Kemal Ataturk avait décidé de faire de la Turquie un pays moderne, appartenant aux Turcs et seulement aux Turcs.

Kiriakos Romiopoulos est un boulanger pâtissier dans la ville de Aydin, il y possède une petite maison, quelques terres à vigne sur les hauteurs de la ville et un appartement à Smyrne. Il est marié à Sophia et heureux père d’une petite fille nommée Marina. Ils s’occupent aussi de sa mère, veuve et de sa plus jeune sœur encore célibataire.

Souvent l’été, avec sa petite fille grimpée sur un âne, il va voir ses vignes.

Sa vie bascule quand après quelques manifestations sanglantes, il envoie sa famille à Smyrne et essaie de vendre quelques biens.

Ayant en partie réussi, il prend le train entre Aydin et Smyrne et apprend, après son arrivée, que le train suivant a été attaqué et tous les étrangers massacrés.

Muni de son petit pécule et utilisant certaines relations, il trouve un pêcheur turc qui accepte de le prendre avec sa famille à bord de son bateau et de le débarquer dans une île non turque.

Embarqué à la nuit tombée, il reste éveillé pendant tout le voyage, la main sur un pistolet caché dans son gilet, de peur que les pêcheurs ne se débarrassent de leurs encombrants passagers et volent leurs biens.

Kiriakos Romiopoulos, la quarantaine passée, refera sa vie en France comme ouvrier dans les fonderies et après sa retraite continuera de travailler comme gardien de nuit, deviendra momentanément aveugle suite à l’explosion d’un four, continuera car il est le patriarche, à rendre visite à sa famille en Grèce tous les deux ans, se privant quelque peu pour apporter à chaque membre un cadeau, et se laissera mourir à plus de quatre vint dix ans refusant délibérément l’acharnement thérapeutique.

Entre temps Sophia était morte de la leucémie et Marina, devenue une petite française de culture, le deviendra réellement après son mariage. 

Je suis fier que mes petits enfants m’appellent comme je t’appelais : Papou

Respects mon Papou..

Partager cet article
Repost0
25 décembre 2009 5 25 /12 /décembre /2009 17:37

J’ai 8 ans peut-être 9 et j’ai demandé au Bonhomme Noël, auquel je ne crois plus, une diligence. Il faut dire que je n’ai jamais ce que je demande, mes parents ne sont pas riches mais l’espoir fait vivre,

J’ai toujours eu un cadeau mais un cadeau « utile »

Chaque fois j’y crois et la déception est d’autant plus vive mais passe très vite.

J’ai mes jouets favoris qui me consolent, des petits cyclistes au couleur du tour de France, Bobet en Jaune,  et Darrigade pour les français, Coppi et Bartali pour les Italiens dans leurs belles couleurs vert, blanc, rouge, Koblet et Kubler pour les Suisses. Si les petits cyclistes de plomb sont toujours les mêmes, leurs noms peuvent changer selon l’actualité. Deux dés et un circuit de petits chevaux et les grandes compétitions commencent avec classement de l’étape et classement général.

Cette année-là je déballe mon cadeau et oh ! Surprise ma diligence, en métal, avec 4 chevaux et des cow-boys, couchés sur le toit et qui tirent quand le chariot avance, avec bruits et étincelles, s’il vous plait.

Certes on est loin des jouets actuels mais cette minute-là est restée la plus belle de toute ma vie et je pense alors que plus jamais je n’aurai quelque chose d’aussi beau.

J’ai une petite sœur qui à 3 ou 4 ans et qui veut jouer avec, il n’en est pas question mais ma mère me fait céder.

Quelques heures plus tard je pleure toutes les larmes de mon corps car la diligence n’avance plus  et ne fait plus de bruit, seules les étincelles fonctionnent encore. Ce fût mon plus gros chagrin d’enfance, mes parents ne voulurent rien savoir pour m’en trouver une autre, peut-être qu’ils ne le pouvaient pas et il m'était difficile de jouer avec les poupées de la petite sœur en représailles.

Les Noëls suivants j’ai certainement eu d’autres jouets mais aucun dont le souvenir me soit resté.

Je n’ai plus jamais retouché à la diligence, elle a disparu, un jour mais le souvenir de son déballage est encore présent dans ma mémoire.

Le lendemain, je suis sur la table de la salle à manger et Louison Bobet gagne.

Partager cet article
Repost0
21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 02:33
 

Aujourd'hui je suis d'humeur amoureuse et tristounette, le temps y est certainement pour quelque chose.

Voici DSCN0274.JPGune chanson, devenue presque l’hymne de l’île de La Réunion et qui reste pour moi dans sa simplicité une des plus belles chansons d’amour.

Elle est en créole mais pas besoin de traduction ou si peu.

Nénère : Amour pour une femme pour un homme se dit Zézère

si une femme chante elledira "vi souviens mon Zézère adoré"

Moin : moi

P'tite fleur aimée (Paroles : Georges Fourcade - Musique : Jules Fossy)


Vi souviens mon Nénène adorée
Le p'tit bouquet, vou la donne à moin
Na longtemps que li l'est fané,
Vi souviens, com' ça l'est loin.

Refrain :
P'tit fleur fanée
P'tit' fleur aimée
Di à moin toujours
Com' c'est l'amour ?

Mi marché dans la forêt, DSCN0223
Y faisait bon, y faisait frais,
Dan' z'herbes n'avait la rosée,
Dan les bois zoiseaux y chantait.

Refrain :
P'tit fleur fanée
P'tit fleur aimée
Di à moin toujours
Com' c'est l'amour ?
DSCN0140.JPG


Depuis ça, le temps la passé,
Y reste plus qu'un doux souvenir,
Quand mi pense, mon coeur l'est brisé,
Tout ici, com' ça y doit finir.

Refrain :
P'tit fleur fanée
P'tit fleur aimée
Di à moin toujours
Couc' c'est l'amour ?

 

 

Partager cet article
Repost0