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Un livre vit grâce à la recommandation passionnée qu’en fait un lecteur à un autre.

Henry Miller

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Le dernier homme de Margaret Atwood

8 mars 2014 6 08 /03 /mars /2014 17:10

J'ai hésité à mettre ce C.D.G.* de mon ami z'Hubert Le z'Hibou.

Six mois sans critique, reconnaissons qu'il se  calme depuis qu'il fréquente les z'humains.

*Coup De Gueule.

Réflexions et relecture faites... le C.D.G. viendrait plutôt du Papou.

*****

-Que lis-tu ? z’Hubert me regarde avec ses deux grands yeux prédateurs  et, en cet instant, quémandeurs.

-Le dernier Goncourt.

-C’est quoi ?

-« Au-revoir là-haut » de Pierre Lemaitre*.

-Ça parle de quoi ?

-De la fin et des suites de la première guerre mondiale.

-Pourquoi tu lis ça ? Tu n’aimes pas les prix littéraires.

 

-Tu n’as pas tort, mon ami aviaire, mais cette année on fête le centenaire du début de cette guerre et les éditeurs ont senti comme une odeur d’argent facile. On se croirait dans les années 50 quand les livres de guerre pullulaient..

 

-Dis-moi, mon humain préféré : Quand quelqu’un fête la victoire, on oublie que c’est aussi la défaite d’un autre, cet ennemi d’hier devenu l'ami d’aujourd’hui.

 

- Oui, mais cette année, on ne commémore pas la victoire. On fête le début du massacre.

Cent ans ! Il faut commémorer, fêter, chanter, danser et ... encaisser.

On commence à célébrer les 9 millions de morts et vingt millions de blessés des quatre prochaines années.

On ne parlera pas d'eux, ils ont tous disparus. On ne parlera pas d'une génération entière gazée, explosée, écrabouillée, enterrée, décapitése poignardée ou, pour les plus chanceux, abattue d’une balle en pleine tête. On ne parlera pas, non plus, de ceux qui furent fusillés.

Les rescapés du massacre, les gueules cassées, avaient survécus par chance et tué par obligation, par devoir et surtout par peur.

D'ailleurs, ils en parlaient peu, comme s’ils avaient honte d’être encore vivants.

Le jour du souvenir, ils ne souhaitaient pas se souvenir. Tu noteras le singulier. Ce n’étaient pas un souvenir qu’ils voulaient oublier, c’était tout un pan de leur vie.

Si certains  supportaient leurs corps meurtris, tous souffraient dans leurs âmes en pensant à leurs camarades tombés « au champ d’honneur », « au champs d’horreur »,dans l’inutilité, dans l’anonymat, dans l’oubli.

 

-Mais pourquoi faitent-vous la guerre, les z'humains ?

 

-Pour pas grand chose !  Pour un petit bout de champs, pour une goutte de pétrole, ou pour un Dieu qui, s’il existait, ne permettrait certainement pas qu’on massacre en son nom.

Quand j’étais jeune, enfin... plus jeune, on vivait dans la peur d’un conflit atomique. La peur faisait partie de notre vie quotidienne. On l'ignorait mais elle mangeait à notre table, couchait dans notre lit, dansait à nos bals et jouait à nos jeux.

Depuis quelques jours, certains dirigeants « va-t-en guerre » et gonflés d'orgueil ont envie de recommencer.

 

-Ils feraient mieux d'imaginer comment sauver la planète d’une destruction économique. » Ajouta z’Hubert dont les aigrettes s’étaient hérissées de colère.  « Quand je pense que c’est moi qu’on traite de prédateur ! »

 

Comme à chacune de ses déceptions, il me tourna le dos.

Pensif et ne trouvant rien à répondre, je me replongeai dans mon bouquin.

*Mon billet est

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31 janvier 2014 5 31 /01 /janvier /2014 17:15

Je dois aimer les romans policiers pour plusieurs raisons, mais la principale reste de trouver le criminel et ses raisons avant même que les auteurs y aient pensés. Difficile, me direz-vous. Sauf qu’arrogance, immodestie et vanité sont les trois mamelles du lecteur intensif de polars.

 

Des fois ça marche parce que le roman n’est pas bon, les coutures sont visibles et les fils blancs pendent lamentablement.

Je suis heureux et… déçu.

Avec les bons romans comme ceux de notre Lady Agatha, je n’ai pas réussi souvent, sauf quand je les relis pour la ixième fois.

Je suis donc déçu et…heureux.

 

C’est pareil me direz-vous ! Que nenni.

Déçu et heureux n’a presque rien à voir avec heureux et déçu. Le sentiment mentionné en premier est immédiat, rapide et provisoire  alors que le deuxième reste celui qui imprégne notre mémoire lorsqu'on revoit le nom de l’auteur.

Il va sans dire, et encore mieux en le disant, que je n’aime pas beaucoup les romans (ou les films) où le scélérat nous est dévoilé au début*.

*Les seules choses que  j’aimais dans Colombo c’était sa 403, son chien et sa femme.

Je n’aime pas non plus ceux où nul indice, nul renseignement, ne vient allumer le lumignon du lecteur et qu’émergeant d’une brume épaisse et sorti de nulle part, le vilain nous est livré pieds et poings menottés*.

*Une certaine Héritière sait de qui je parle.

 

Tout ça pour vous dire que je lis en ce moment « La sirène » de Camilla Lackberg et qu’en dépit de tous les indices, réels ou faux bien entendu, je suis complètement perdu et affreusement dépité. J’ai l’impression d’être Hamlet qui arpente son jardin sans rien voir.

 

Vais-je être déçu et heureux...   ou bien...  heureux et déçu ?

Réponse dans un futur billet.

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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 17:16

Ceux qui pensent que j’ai abandonné mon blog après 1593 jours d’écriture relativement intensive sont dans les « petates *». 

*Pas besoin de traduire.

Bon, d’accord, j’oublie régulièrement son anniversaire (comme beaucoup d’autres d’ailleurs*) et il doit m’en vouloir (comme beaucoup etc..*

*Heureusement pour les autres, FB existe.

 

Je pense tristement aux millions* de lecteurs qui se ruent chaque jour chez « Le Hibou et le Papou » pour débuter leur journée de labeur dans la joie et le plaisir de la lecture et en reviennent dépités et de mauvaise humeur pour leur entourage qui se questionne sur leurs raisons.

*Minimum

Toute la journée les pauvres quinauds doivent s'interroger sur le silence de ce blog :

Serait-il la cause principale de la mauvaise ambiance au travail ?

Du retard dans les transports en commun ?

Du froid intense qui fait grelotter l'Amérique du nord toute entière ?

Celui-ci a-t-il gelé les neurones des auteurs ?

Ou bien sont-ils victimes du syndrome de la page blanche ?

 

Pour les premières questions je ne sais que répondre sans heurter ma modestie* naturelle et profonde tandis que pour la dernière j’affirme haut et fort et sans barguigner :

Que nenni !

*J'insiste.

 

Mais alors ?

Alors : Je lis. Je lis un roman de neuf cents pages dont la complexité n’a d’égale que la théorie de la relativité d’Einstein ou les problèmes de la quadrature du cercle, la trisection de l’angle et la duplication du cube, théorie et problèmes qui restent le summum de l’abscond(nerie) pour le Papou Béotien et son alter ego empenné.

 

Ce bouquin cyclopéen parle surtout de seins et de fesses, sujets dont l’intérêt n’échappera à personne, du bordel que fut  l’Histoire chinoise au milieu du vingtième siècle, vue par le petit bout de la lorgnette des habitants d’un village rural miséreux et arriéré, de la crétinerie des conflits partisans et des guerres civiles, des amours et des haines qui en découlent et pourrissent  la vie des familles, ainsi que d’autres aspects plus triviaux voire beaucoup plus sanglants .

Tout ça ?

Et peut-être plus encore.. Je n’en suis qu’à la moitié !

À bientôt.

Et le titre alors ?

Je viens de  l'écrire : bientôt.

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21 septembre 2013 6 21 /09 /septembre /2013 15:31

Pendant mon séjour périgourdin, j'essaie de lire Sud-Ouest, le journal de la région Aquitaine dont je vous ai déjà parlé dans ce blog.

Ce n'est pas toujours facile, ainsi depuis le début de la semaine, le distributeur au village est parti en congés pour 15 jours et son remplaçant habituel a fait de même.

 

Il faut se rendre à 5 kilomètres pour trouver les nouvelles communales , départementales, régionales et nationales incluant les faire-parts de décès beaucoup plus nombreux que ceux de naissance et les bans de mariage devenus pratiquement inexistant.

Un étranger de passage pourrait supposer qu'en Aquitaine on ne se marie plus, on ne procrée plus beaucoup mais on meurt.

 

Le samedi et le dimanche nous avons droit à des suppléments de lecture et de prix.

Le ''Sud-ouest mag'' remis en début de week-end, au demeurant très intéressant, couvre les découvertes que l'on peut visiter dans la région et des reportages sur des évènements survenus dans les semaines qui ont précédé. Le lendemain  nous avons l'horaire télé, indispensable, et un magazine féminin, peu utile pour un hibou sauf les jeux.

 

Mais pourquoi ce titre de naissance et nativité, me dites-vous ?

Cette semaine, le magazine nous présente Diane Ducret, une romancière qui vit au Pays Basque et vient de sortir ''Corpus Equi'', son troisième livre après ''Femmes de dictateur '' et ''Les derniers jours des dictateurs''.

Un blog de lecture et un papier sur une écrivaine, je me documente pour le futur, normal !

Je ne sais pas si je lirai une de ses oeuvres un jour mais sous une très jolie photo on nous signale qu'elle est native de Biarritz et dans ses dates clés : naissance le 17 novembre 1982 à Anderlecht en Belgique.

Il y a donc une énorme différence, plus de 1000km, entre naitre et être natif de. Je ne vois pas d'autres explications en dehors de cette distance géographique.

 

 

 

 

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9 juin 2013 7 09 /06 /juin /2013 04:16

Réflexions sur Les carnets secrets

d’Agatha Christie

de John Curran

Allie et Oncle Paul ont attiré mon attention sur ce livre. Étant donné ma résolution ''Christienne'' d’un ouvrage par mois, il m’était difficile de passer sans le remarquer.

 

 

J’ai donc commencé à le lire tranquillement, entre un roman policier et une biographie béarnaise*, si bien qu’à un moment je passais de l’un à l’autre mélangeant les maisons en pierre des Hébrides avec les lauzes du Béarn et les crimes des gentlemen anglais avec ceux des pêcheurs écossais.

*Ne pas confondre avec la sauce beaucoup plus goûteuse.

 

Ce ne sont pas ces imbroglios* qui m’ont fait arrêter les carnets de la Dame mais une petite phrase de la ‘’douce’’ Bleuette aux ongles arc-en-cielesque.

 ‘’ Je veux tout relire Agatha, m’a-t-elle écrit, et ensuite, sortir ce livre de ma pile. J'ai peur qu'il (ne) me vende trop de punchs!’’ .

*2 fois que je le place en moins d’un mois, mon vocabulaire s’enrichit dans la répétition.

 

Elle avait doublement raison, l’adorable bougresse.

L’intérêt de ces carnets, classés par John Curran, est de nous faire toucher (des yeux)* le processus de réflexion de notre Lady.

*Un excellent conseil de mon père:’’ Pour éviter les ennuis, tu touches avec les yeux et regarde avec les mains.’’

 

J’aurais plutôt dû écrire le manque de rigueur dans le processus car l’esprit toujours en éveil et l’inspiration galopante de notre reine du crime anglo-saxon du siècle dernier donnaient des carnets qui mélangeaient ses notes sur de futurs romans, des poèmes, des listes de courses, des rendez-vous, des réflexions etc..*

*Alouette.

 

Ces notes sont très intéressantes quand on a lu le roman mais hyper gênantes pour ceux qu'on n'a pas encore lus ou relus.

 

J’ai donc arrêté.

Dorénavant je vais continuer à lire un Agatha mensuellement puis j’irai ensuite consulter les notes relatives au roman que je viens de terminer et vous rajouterais un petit commentaire supplémentaire pour le même prix.

 

Quelle bonne idée !  Un gros merci à Karine.

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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 09:24

Admettez que cela fait bien longtemps que je ne vous avais pas reparlé du nouveau concept d'overblog et je suppose que certains d'entre vous attendent les résultats des explorateurs courageux avant de faire le saut.

 

Comme je vais m'absenter de la toile pour quelques jours histoire de quitter la pluie périgourdine pour la neige québécoise*, je voudrai vous faire part de la situation actuelle d'un kiwiman pas encore kiwifan.

*Maso je suis, je pourrai aller à Tahiti, non ?

 

Si vous me suivez, vous avez dû vous rendre compte que j'ai réussi péniblement à mettre deux billets en ligne avec des images placées où je le voulais, ce qui est déjà un immense progrès.

 

Je vais être honnête, sans l'Héritière et son Doudou* qui ont pratiquement élaboré le premier des deux, j'aurai déjà balancé l'ordinateur, avec overblog et son kiwi, par la fenêtre. D'accord, la maison est de plein pied et la casse aurait été réduite, mais, cela m'aurait permis de le changer**, vu qu'il rame comme un gondolier qui a embarqué quatre éléphants***.

* Autrement nommé Escargolio du Kikimundo

**À dix ans, il est bien vieux. Heureusement que les humains sont fonctionnels un tout petit peu plus.

*** C'est possible. Rappelez-vous la chanson ''Pends-moi'' :

Comment met-on deux éléphants dans une dauphine à toit ouvrant ?

On en met deux derrière et les deux autres devant.

 

Je m'épivarde. Le deuxième billet a été entièrement conçu et réalisé par moi*.

*Applaudissements ! Merci.

 

Aujourd'hui, je vais vous donner deux conseils :

Ne vous trompez pas de touche sinon vous allez pédaler dans la schnoutte. Il faut convertir en HTML avant d'écrire votre article et non après*, pour avoir accès à d'autres polices que celle, unique et trop petite, du site.

*Sous toutes réserves, j'aurais dû vérifier mais je n'ai pas eu le courage.

 

Pour joindre les images, il vous faut cliquer sur l'icône ''insérer l'image'', et sur l'endroit prévu pour la mettre, trouver l'URL de celle-ci sur le net et la copier directement dans la case qui s'est ouverte. En cliquant sur la droite de la souris vous pourrez ensuite choisir l'endroit où vous voulez la placer et sa taille.

 

Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Enfin presque, le signataire de la présente décline toutes responsabilités, n'étant ni un programmeur, ni le concepteur du kiwi, pour tout incident qui vous enverrait en Nouvelle Zélande*.

*Le pays des aptérix (autrement nommés kiwis)

 

 

 

 

 

 

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 09:47

Pas sur !

 

Je viens de publier un nouvel article en réussissant à insérer une image à l'endroit que je le souhaitais* et pourtant je ne suis pas satisfait.

*Au début du texte

 

Il m'a fallu une semaine pour arriver à mettre cette photo mais si vous comparez cet article avec le précédent, vous vous apercevrez qu'il va vous falloir une loupe.

 

Si je convertit en HTML pour avoir le choix d'une police et de sa taille, je n'arrive pas à placer l'image où je veux ni à choisir sa grandeur.

 

Pour choisir la taille et l'endroit, j'ai dû garder la police automatique.

Ça ne plaide pas en faveur d'une continuation sur ce site,

 

À suivre...

 

 

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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 17:32

Il fallait que je le fasse, par curiosité plus que par obligation. Si je ne le faisais pas, ils l'auraient fait d'office , eux-même, un jour ou je n'aurais pas été préparé.

Je ne le suis pas plus aujourd'hui mais au moins, si je suis perdu, je peux me consoler en pensant que c'est de ma faute.

Voilà, je suis perdu !

J'avais mes habitudes, mes tics, mes raccourcis. Maintenant il me faut apprivoiser le nouveau concept.

En haut à gauche dans un bloc brique* un éclair icôné avec ''nouvel article'' : L'éclair je ne sais pas encore à quoi il sert mais si vous avez réussi à lire cette prose c'est que j'ai réussi le plus facile en cliquant dessus. Le titre de la page qui s'affiche est :

Rédiger un nouvel article ou une page*

*Tiens je n'ai pas trouvé la commande pour mettre un texte au milieu de la ligne

 

À droite, sous 4 icônes encore inconnues, un autre bloc-brique ''publier maintenant'' avec une petite flèche pointée vers le bas. Je n'ose pas y toucher.

 

Revenons en haut, à droite de ''nouvel article'', 5 mots, blanc sur noir : Activité, Modérer, Stats, Thème, Paramètres ensuite il y a une icône qui ressemble à une cloche, un ?, un carré ouvert avec une flèche et puis ma photo, enfin la photo de mon avatar.

À droite de haut en bas, sous ''Publier maintenant'', Prévisualisation puis Auteur*, Date de publication et Tags, commentaires et à la fin 3 petits carrés à cocher avec une enveloppe, un oiseau qui twit, et le F de Facebook.

* Je dois surement indiquer que je suis l'auteur de mes propres textes...pour être sur que c'est bien moi.

Je vais commencer par le ? qui doit être le signe pour obtenir de l'aide.

Le problème est qu'il faut avoir fait des études poussées en geekerie pour comprendre la moindre petite indication, heureusement Gridou de ''Gridoullis'' et Madame  Yue Yin de ''Chroniques de lecture'' m'ont bien aidé et j'ai passé l'examen de mon cours préparatoire, j'attaque mon cours élémentaire 1.

À bientôt

 

 

 

 

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30 mars 2013 6 30 /03 /mars /2013 11:11

ÇA Y EST !

Je peux de nouveau joindre une image à mes textes.

Ce n'est pas grâce à Overblog. (@#$%& !)

C'est un peu grâce à tous ceux qui m'ont soutenu dans cette pénible épreuve soit en pleurant sur mon sort soit, comme la gentille Pyrausta, en m'expliquant comment elle faisait.

Donc, ça y est ! Un peu grâce au papillon déjà nommé et à l'Héritier, dont c'est le boulot mais qui ne vient pas faire son Tanguy à la maison juste pour continuer à bosser. (Je ne critique pas, je le comprends.)

Seulement comme disait mon Confucius personnel, Yogi Berra : ''Il y en aura pas d'facile!''

Maintenant je dois travailler sur 2 navigateurs, Fox et Chrome, pour obtenir ce que je veux.

Mais pourquoi les deux ? Parceque Overblog a des beetles plein ses logiciels et pas les mêmes.

Je vous rappelle que je ne pouvais plus ajouter d'images avec Mozilla, le bouton s'étant fait la malle donc je me pointe chez Chrome et oh résultats merveilleux et extraordinaires ce fameux bouton est bien là et je peux inclure mes jolies photos. Tout va bien me dis-je* et je décide de faire migrer mes billets en totalité chez ce nouveau nav'.
*Je me parle souvent à moi-même ce qui est la meilleur façon d'avoir 

Erreur, que nenni ! Car les polices sont différentes, les interlignes n'interlignent plus et cerise sur le sundae, si je peux ajouter mes belles photos, je ne peux plus les insérer au milieu des textes.

Tout ça pour vous dire que j'ai failli perdre mon sang-froid, ce qui m'est inhabituel. (J'entends des rires)

Finalement, j'écris sur le ''renard en feu'', j'ajoute sur le Cr, je retourne dans le ''goupil igné'' et j'insère.

Comme si un retraité n'avait que cela à faire.

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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 12:12

Peut-être suis-je le dernier à utiliser over-blog.

Je n'avais pas l'intention de changer mais je commence à me poser des questions.


J'ai un bug , a beetle, je ne peux plus enregistrer d'images et,

ça me fout le cafard


Quand je pose une question à over-blog, voici leur réponse (à peu près) :

Nous ne vous répondrons que si la réponse ne setrouve pas dans les forums d'aide, sinon veuillez chercher.

Merci ! J'ai regardé, j'en ai pour plusieurs semaines et je ne suis même pas sur d'y arriver, vu mes indéniables qualités pour ne rien comprendre au jargon computeresque.

 

Je vous explique.

D'abord sachez que je n'accuse personne d'autre que moi*, j'ai dû faire une fausse manoeuvre mais :

1) Je ne sais pas laquelle

2) Plus je pitonne* n'importe-où et plus je dois m'enfoncer.

*Même pas over-blog.

 

Quand je clique sur ''ajouter une image'', cette mention n'apparait pas sur le carré orange*, dans certain cas il est normal mais sans indication et dans d'autres il est réduit à un tout petit carré toujours sans indication.

Si je clique quand même, il ne se passe rien.

*Orange chez moi, n'importe quelle couleur chez vous.

 

J'ai assez d'espace pour ajouter des centaines de photos et dans le dossier en cours je n'en ai que 40/200.

 

Va-t-il falloir que mes nombreux lecteurs se satisfassent de ma prose sans

avoir une jolie image* ou bien un Superman de l'électronique ou une Wonder-woman du logiciel vont-ils réussir à m'expliquer ligne par ligne ou plutôt clic par clic comment récupérer ce !@#$%? de problème.

* Qui valorise la-dite prose indéniablement

 

PS : Je voulais ajouter une photo de mon écran, (sacre québécois !), ÇA NE MARCHE PAS !

 





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