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Un livre vit grâce à la recommandation passionnée qu’en fait un lecteur à un autre.

Henry Miller

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Nouvautés dans ma PAL

Le dernier homme de Margaret Atwood

4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 09:33

L'Héritière qui n'en manque pas une, m'a gentiment mis en boîte sur mon idée de relire "L'homme aux cercles bleus" de Fred Vargas aussitôt après une première lecture.

- Quand même avoir envie de relire un bouquin à peine fini... ça ressemble plutôt à un hommage à Vargas, m'écrit-elle.

J'imagine son oeil pétillant et son sourire en coin en m'envoyant ce petit commentaire.

 

Bon! On peut dire ça ! C'est un hommage, peut-être, à un auteur que j'ai beaucoup de mal à comprendre.

 

Honnêtement je ne l'ai pas relu mais parcouru pour retrouver certains moments qui m'avaient étourdis d'incompréhension.

 

Exemples :

« Est-ce qu’un meurtre, c’est comme un paquet de vermicelles collés? Est-ce qu’il suffit de les replonger dans l’eau bouillante pour les démêler ? Et l’eau bouillante, c’est le mobile, non? »

Il avait répondu : Ce qui démêle, c’est plutôt la connaissance, il faut se laisser faire par la connaissance. » Elle avait dit : « Je ne suis pas certaine de comprendre ta réponse » ce qui était normal parce qu’il ne la comprenait pas non plus dans le détail.

 

Comparer un meurtre à un paquet de vermicelles trop cuits, pourqoi pas ? Mais que celui qui donne la réponse, en l'occurence notre fameux commissaire ne comprenne pas, lui-même, sa réponse : comment voulez-vous qu'un primaire comme moi la comprenne. Ajouterais-je que j'ai des doutes sur les qualités de cuisinières de Fred Vargas (non, non je ne l'ajoute pas)

 

" Ce qui s'est passé aussi, c'est qu'au café, c'était de la palette aux lentilles au menu. La palette aux lentilles, ça me fout le bourdon. C'est la désespérance."

 

La palette aux lentilles qui vous rend triste, celle-là on ne me l'avait jamais fait, d'autant que les lentilles, ce n'est pas triste, ça ressemble à des confettis de carnaval et quand à la palette elle ne ressemble plus du tout au gentil petit suidé rose dont elle faisait parti.

 

"Adamsberg

- Demain je vois un psychiatre....

Mathilde

- Bon sang, c'est pour vous ?... Non, je suis idiote, c'est impossible. J'imagine que même si vous aviez la manie de pisser contre tous les réverbères des trottoirs de gauche, vous vous diriez "advienne que pourra et Dieu fasse durer les réverbères et les trottoirs de gauche", et pis vous n'iriez pas demander pourquoi chez un psychiatre.

 

Ça m'est arrivé de pisser contre un réverbère du trottoir de gauche, le soir très tard et dans un état que la morale pourrait trouver à redire mais l'être humain est ainsi fait que quand il commence, il a du mal à s'arrêter donc à moins d'y aller chaque jour et de changer d'urinoir lampadaire à chaque fois, faire tout le trottoir de gauche, (de quoi ? d'une rue, d'une ville) devrait prendre une bonne partie de la vie du péquin pisseux,

À moins que vous ne soyez un quadrupède type Canis.

Et puis, quels rapports entre l'envie normale d'uriner et un psychiatre ?

 

"Adamsberg était là. Danglard n'aurait pu dire qu'il était installé à son bureau ni même assis. Il était posé là, trop léger pour le grand fauteuil et trop dense pour le décor blanc et vert."

 

Alors là, c'est moi qui est besoin d'un psy.

 

Bon je m'arrête là! Je sais que je suis un primate primaire et qu'il faut souvent m'expliquer plusieurs fois la même chose, pourtant je répète que j'ai du mal à comprendre cet auteur.

Mais je recommencerai, si!si! je recommencerai et peut-être qu'un jour la lumière m'inondera de son arc-en-ciel de couleurs.

 


 

 

 

 


 

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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 10:41

Ils souffrent, soufflent et suent. Le visage crispé par un sourire sans joie ou tordu dans un rictus de douleur.

Ils marchent, courent, joggent, pédalent ou patinent le regard fixé sur l’horizon lointain du but inexistant qu’ils se sont donnés avant d’accepter la souffrance du repos.

Certains courent lentement si lentement qu’ils iraient plus vite en marchant et d’autres marchent si vite qu’ils dépassent ceux qui courent sans un regard, sans compassion.

Ce sont les faux fanas de la préparation physique qui profitent de leurs vacances pour souffrir tout ce qu’ils n’ont pas eu le courage de souffrir toute l’année.

Il y a des gros et des maigres, des jeunes et des vieux, des grands et des petits, des costumés en sportif professionnel et d’autres en shorts effrangés, des tee-shirts colorés et des torses nus, des seins et des peaux qui ballottent en suivant la mesure des pas saccadés.

Il y a, là, un résumé de l’humanité riche et heureuse et pendant ce temps-là des hommes, des femmes et des enfants meurent de faim, de soif ou de maladie un peu partout dans le monde. Des hommes, des femmes et des enfants qui ne savent pas ce que le mot « vacances » veut dire, qui travaillent dix heures par jours, sept jours par semaine pour un salaire de famine.

Et moi ? Moi, je ne fais rien. Que pourrais-je faire ?

Tiens ! Si j’allais marcher pour ne plus penser.

 

 

par Le Papou

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4 août 2010 3 04 /08 /août /2010 09:29

Je suis un amateur un vieil amateur diraient certains membres de ma famille, pourtant peu nombreux, mais impertinents parfois quand ils parlent de mon âge.

Je suis doublement un amateur, je suis un dilettante qui aime.

Lorsque j’ai commencé ce blog, il y aura bientôt un an, je voulais simplement écrire ce que je ressentais, ce que je vivais, ce que j’aimais et aussi ce que je détestais. D’autant que je déteste plus que je n’aime mais j’ai beaucoup plus de mal à faire part de mes détestations, la peur de faire du mal, je suppose.

Quand on a travaillé toute une vie et rencontré des milliers de personnes, on se retrouve, soudainement, entouré seulement de la famille et des quelques amis qui vous restent.

Auparavant, chaque jour apportait de nouveaux contacts qui entraient dans votre vie pour un instant ou pour très longtemps.

Ce n’est plus le cas, ceux de votre âge sont comme vous, enfermés dans un cercle de plus en plus restreint et les plus jeunes, (ah ! Les plus jeunes) sont comme vous à leur âge, ils ne s’intéressent pas beaucoup aux autres. Boulot, enfants, fatigue, sommeil, spectacles, les amis de leur âge …pas le temps…pas le temps.

Bon je m’éloigne de ma première idée pour ce billet mais cette digression me semble importante. J’ai plein de souvenirs de mon grand-père maternel mais quelques années après sa mort  je me suis rendu compte que j’avais un tas de question à lui poser, ce fut l’un des jours les plus tristes de ma vie. J’avais passé près de trente ans auprès d’un homme que j’aimais et ce n’est que cinq ou dix ans après sa disparition qu’il me manquait autant.

La plupart de mes questions sont restées sans réponses et me taraudent encore car elles resteront ainsi : sans réponse.

Prendre son temps, je n’ai pas fait cela pendant un million d’années ou presque et maintenant que je peux le faire, le monde se rétrécit comme une peau de chagrin et ne s’ajoutent que des visages rapidement entrevus lors de mes voyages.

Mais revenons à nos moutons-blogs et à mon amateurisme.

Comme tout amateur je me suis intéressé, de plus en plus, à d’autres blogs, cherchant des idées de lectures ou de voyages, parcourant le monde au travers d’amis inconnus et m’abreuvant de leurs textes, de leurs amours littéraires ou photographiques.

Mais voilà que depuis quelques temps une question me chicote: y-a-t-il  dans ces blogs dits amateurs, des professionnels qui influencent nos achats, nous forcent à lire les mêmes romans en étant récompensés ou même rémunérés pour le faire.

Soudain des titres font le tour en quelques semaines, passant de l’un ou de l’une à l’autre, avec des billets souvent dithyrambiques, des SWAP (whatever it means) qui en dehors des cadeaux, moi aussi j’aime les cadeaux, sont des incitations à acheter et des concours qui ne le sont pas moins.

Des centaines, voir des milliers et même des millions de livres sont à notre disposition et d’un seul coup, tout le monde ou presque se met à lire le même bouquin, le même auteur. Coïncidence ou syndrome de Panurge?

Mon tempérament très franchouillard et même un peu beauf me pousse à éviter d’emblée ces romans qui font l’actualité, tant pis si j’en rate un bon ; des centaines, voir des milliers voir même des millions de livres sont à ma disposition (bis repetita)

Plus que je ne pourrais jamais en lire durant les années qui me restent à râler.

Et puis pour aller jusqu’au bout de ma pensée, il me paraît plus que nécessaire pour ne pas dire obligatoire que ceux qui sont payés, s’il y en a, pour nous amener à choisir tel ou tel auteur soit suffisamment couillus pour l’écrire.

Dans les textes de publicité des annonceurs, c’est obligatoire, alors pourquoi ne le serait-ce pas dans le net ?

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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 02:11

Je ne sais pas ni par où ni par quoi commencer ce billet.

Je me suis rendu compte, en surfant sur les blogs de lecture, que certains ou plutôt certaines semblaient préférer les V.O. ce qui jusque là ne m’avait pas paru essentiel. Qui suis-je pour penser que mes lectures en anglais seraient plus intéressantes que les traductions, moi qui ai beaucoup de mal à comprendre les blagues et les jeux de mots dans la langue d’outre-manche ?

L’Héritière, dans sa jeune sagesse (enfin! Moins jeune maintenant) m’a laissé entendre qu’étant pratiquement bilingue je ne devrais pas avoir de problèmes. Je dois pourtant avouer que je lis trop vite et souvent très mal, entraîné par l’action, les explications et les descriptions m’emmerdent. Même certains parmi les auteurs, que j’adore, peuvent trois ou quatre fois résumer la situation (n'est ce pas Anne) ; pensent-ils que je fais de l’alzheimer ou que je n’ai aucune mémoire. Alors je lis en travers, mais… je lis, pour être sur que j’ai bien tout compris.

En anglais, je lis beaucoup plus lentement. On dirait un enfant qui ânonne ses premiers livres sans image.

Bon ! Me suis-je dis, car je me parle à moi-même, je vais en acheter un.

Il me fallait une histoire d’aventures comme les 3 mousquetaires, qui fut mon livre de jeunesse, relus mille fois (au moins). N’ayant pas trouvé l’équivalent et lisant les 4ème de couverture, je suis tombé sur un bouquin qui se passe pendant la deuxième croisade et qui m’a semblé couvrir mes désirs.

Acheté et mis dans ma pile à lire, je l’ai regardé, affolé, pendant plusieurs semaines.

Non!  Non ! Pas parce qu’il est en anglais mais parce que c’est une brique de 857 pages.

J’aurai pu me décider pour un petit opuscule de moins de cent pages, un truc facile qui raconte une histoire facile avec des sentiments que je connais, souvent les termes sont d’ailleurs les mêmes en anglais et en français exceptés les faux-amis. Mais non ! La folie des grandeurs, je vous dis !Ou mieux la folie de la grosseur.

Finalement j’ai attaqué comme les troupes de Saladin au début du roman, et j’espère obtenir la victoire dans les jours, hum! Semaines, hum! Mois à venir.

Standard of Honour, cette brique en poche chez Pengouin, me plait et je suis, assez facilement, les péripéties de Saint-Clair de l’ordre des Chevaliers du Temple, et de Mornay, chevalier écossais, qui, après la défaite des armées chrétiennes par Saladin, essaient de se sauver, le deuxième portant littéralement le premier, grièvement blessé.

Patatras ! Mon anglais me fait soudain défaut à la fin de la page 76, dont voici le texte:

On the sand at his back was a folded pile of white cotton cloth that Sinclair recognized as a kufiya, the large, square scarf that the nomadic people of the Arab races used to shield their heads from the desert sun, and on it the man had carefully positioned a finely made Saracen helmet, its... (et la suite)

“Yes my liege, it is … yet I would beg the privilege”

Mais que diable se passe-t-il ? Ah! La page qui suit la 76 est la 141. Je feuillette rapidement tout le livre en me disant que je devrais trouver la 77 plus loin. Eh bien non ! Un peu plus loin je trouve la 119 et la suite, mais définitivement il me manque 42 pages.

Je vous laisse imaginer ma déception et les questions que je me pose :

Qu’a-t-il trouvé sous les vêtements de coton ?

Qu’est devenu Mornay, disparu pendant une tempête de sable ?

Pourquoi plus tard, fait prisonnier, prend-il le nom de Mornay au lieu du sien ?

Bon ! C’est vrai, je sais pourquoi ; mais il va falloir attendre mon billet sur ce roman de Jack Whyte pour le savoir.

Je suis donc retourné à la librairie qui m’a changé le livre sans problèmes.

Oui ! j’ai tout vérifié, les 857 pages sont bien là.

 

 

 

Le Papou dans (mauvaise) Humeur et (un peu d') Humour

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2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 14:06

220px-Ridolfo_Ghirlandaio_Columbus.jpg

 

Les héritiers et les héritiers des héritiers, du moins les plus vieux, osent se moquer du Papou et de sa propension à prendre, lorsqu’il conduit, des chemins de traverse pour raccourcir les voyages.

 

Raccourcissements qui se terminent bien en général, soit par une visite beaucoup plus longue et intéressante de la campagne ou des forêts environnantes, soit par une très jolie vue d’un lac au fond d’un cul-de-sac.

 

Ils ont même osé les bougres en faire une chanson qu’ils fredonnent quand les délais commencent à s’allonger.

Pourtant grâce aux initiatives du Papou, ces sans-cœur ont pu admirer des paysages qu’ils n’auraient jamais eu le plaisir de voir. En sont-ils reconnaissants ? Ils ne s’imaginent même pas combien le Papou doit se creuser les méninges pour être fidèle à son image.


Est-ce un défaut de ne pas demander son chemin ? Certains pensent que oui. Pourtant que serait devenue l’Amérique si Christoffa Colombo avait demandé le chemin de l’Inde en sortant du port espagnol. Pensez-y, au lieu d’aller tout droit, il aurait tourné à gauche. La Colombie ne s’appellerait pas ainsi, l’Amérique du sud ne serait pas latinos et des millions d’européens auraient continué à mourir de faim ou de haine dans leurs pays.


Je n’ai encore rien découvert, mais je ne désespère pas et, contrairement au Colombo déjà mentionné, j’ai déjà la chanson qui perpétuera ma gloire : La ballade du Papou.

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22 juin 2010 2 22 /06 /juin /2010 15:36

Mon ami, le Papou, et je le dis bien fort, à d’énormes qualités mais aussi une tête de cochon et une prédominance pour l’utilisation de la zapette.

Ainsi depuis trois semaines ou presque il en a pris possession pour regarder trois fois par jour des humains, vêtus de maillots aux couleurs très voyantes et de pantalons raccourcis, se battre pour une petite boule blanche, appelée ballon, qu’ils frappent à qui mieux mieux avec leurs pieds alors que même nous les strigidés savons que les humains sont beaucoup plus habiles avec leurs ailes, oups ! pardon… leurs mains.

Finis les feuilletons que j’aime, la belle Lilly Rush dont le maquillage ressemble parfois à celui de l’effraie mais qui est loin d’être effrayante, Bones, ma prédatrice alpha qui préfère les os, et le Docteur House aussi malcommode qu’un vieux hibou.

A leur place, j’ai eu droit aux sempiternelles récriminations du Papou sur l’arbitrage, (à quoi ça sert d’avoir un joueur habillé différemment et qui siffle au lieu de courir après la boule), et sur les protagonistes qui, selon lui, ne savent pas jouer.

Le Papou et moi, vivons au Canada et comme le Canada n’a pas été invité à ce mondial, (on se demande bien pourquoi ?) Il aurait pu (et même dû) ne pas s’y intéresser. Mais lui, est originaire d’un pays lointain qu’il appelle la France alors il supporte l'équipe de la France et nous nous devons le supporter lui. Oh! Et puis il a des origines grecques, bien que je ne comprenne pas ce que cela veut dire, alors va pour la Grèce. Mais après trois semaines de foot in extenso (eh! Oui, j’ai fait des études en latin) il doit aussi avoir des origines, brésiliennes, argentines, allemandes etc..etc..

Je ne suis pas tout seul à être brimé, toute la maisonnée est obligée de suivre le sport à la télé et les suites du sport. Ainsi pour l’équipe de France, après des matches où je l’ai vu, rouge de colère, crier après les joueurs et l’entraîneur, (il doit penser, contrairement à moi, que les personnages dans la boîte l’entendent) . Il nous a imposé toute la saga sur les insultes des uns vers l’autre, sur leur refus de courir de nouveau après le ballon, sur les dirigeants incapables de mettre de l’ordre dans cette gabegie et sur le gouvernement qui veut s’en mêler.

"Et ces paresseux, ces incapables vont toucher des millions, alors qu’ils sont déjà millionnaires, et continuer à nous prendre pour des cons"  a-t-il dit.

Moi, Hubert je me pose une question de hibou, s’ils sont tous millionnaires, pourquoi ne s’achètent-ils pas chacun leur ballon, et me laisse, en paix, regarder mes feuilletons ?

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29 mai 2010 6 29 /05 /mai /2010 14:53

Un petit questionnaire copié quelque part et qui dévoile quel type de lecteur est le Papou:

 

Avec les commentaires de

 

hibou_grand_duc_5-637x480.jpg

 

 

 

 

 

 

           moi

 

Plutôt corne ou marque page ?
Corne la plupart du temps, marque page, si possible avec une chouette ou un hibou, si j’en ai un sous la main

C'est à ça que je sers (Hubert)


 

As-tu déjà reçu un livre en cadeau ?
Souvent.
Trop, j'aime bien me percher sur la pile des Pal (Hubert)


Lis-tu dans ton bain ?
C’est déjà arrivé

Il n'en prend plus.. de bains (Hubert)

 
As-tu déjà pensé à écrire un livre ?
Très faiblement mais je ne suis pas assez constant dans l’effort. Mais j’ai toujours de bonnes idées enfin je crois…

Comme il n'en parle pas, c'est lui qui juge qu'elles sont bonnes, ça fait conflit d'intérêt pas à peu près(Hubert)

 
Que penses-tu des séries de plusieurs tomes ?
Si c’est bon, pas de problème.

J'ai bien aimé la série avec les hibous (Hubert)


As-tu un livre culte?
Les trois mousquetaires d’Alexandre Dumas

Jamais vu le lire (Hubert)


Aimes-tu relire?
Pas trop mais il y a des exceptions comme « les trois mousquetaires » ou «  les enfants de la terre »

Hein! Relire ça me fait dormir (Hubert)

 
Rencontrer ou ne pas rencontrer les auteurs de livres qu'on a aimés ?
M’en fous!

Il pourrait me demander mon avis! (Hubert)


Aimes-tu parler de tes lectures ?
Ma réponse serait non. Mais alors pourquoi un blog comprenant des livres... Contradictions! Contradictions!

Sauf à moi, et toujours quand j'ai autre chose à faire (Hubert)


Comment choisis-tu tes livres ?
N’importe comment mais surtout en lisant le résumé et en regardant les critiques bloguesques

Il pourrait avouer que la photo de l'auteure est importante, pour les hommes il s'en fout.(Hubert)


Une lecture inavouable ?
Jeune, les San Antonio quand Frédéric Dard n’était pas un auteur culte,

Le Marquis de Sade et Blek (qui est-ce ? un secret inavouable)

Blek c'est une bande dessin....mum mum


Des endroits préférés pour lire ?
N’importe où.

Bon! il a retiré mon baillon.

Surtout aux chiot...mum mum


Un livre idéal pour toi serait :

« Les trois mousquetaires » ou « les enfants de la terre »

De l’aventure, de l’aventure…et encore de l’aventure avec un zest de dépaysement et de la psychologie pas trop profonde

La psycho n'est pas son truc alors que moi si on me laisse m'exprim..mum mum


Lire par dessus l'épaule ?
Non.
Moi je SUIS sur son épaule.(Hubert)


Télé, jeux vidéos ou livre

Télé (séries TV et reportages principalement), et livre ou réciproquement

J'aime Harry Potter surtout Hedwige qu'est ce qu'elle est chouette! (Hubert)


Lire et manger ?
Non j’aime trop manger (aussi)

Moi aussi et puis pour les souris, je dois me concentrer. (Hubert)

Lecture en musique, en silence, peu importe ?
En silence

Il ne veut même pas que je pousse un petit hululement d'amour, pfuit! (Hubert)


Lire un livre électronique ?
C’est quoi ça ?

Il est nul dès qu'il faut manipuler des boutons alors que moi ...mum mum


Le livre vous tombe des mains : aller jusqu'au bout ou pas ?
Non ! Quitte à le reprendre plus tard.

Je pense notre état, physique ou émotionnel, influe sur nos capacités à lire ou non un livre.

Si notre état change, notre appréciation le peut aussi. (Sauf Proust, je n’ai jamais pu. Scandale!)

Moi, j'aime bien Proust mais il s'arrête toujours avant la page 50, ça me frustre ! (Hubert)

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23 mai 2010 7 23 /05 /mai /2010 16:18

On ne devient pas Papou par accident, on se prépare longtemps à l’avance parfois il faut même plus d’un quart de siècle. C’est donc un processus de longue haleine et certains n’y parviennent jamais.

Par contre on le devient brusquement, du jour au lendemain et même si c’est prévu quelques temps à l’avance, cela reste toute une surprise.

Une surprise annoncée, est-ce encore une surprise ? Eh bien oui ! Car ce n’est pas tout de devenir un Papou du jour au lendemain, encore faut-il s’y habituer et, honnêtement, si je puis dire, ça prend du temps.

Pendant trois ou quatre ans, on est Papou mais on ne le sait pas encore jusqu’à ce que quelqu’un commence à vous appeler ainsi, et puis une autre et encore un autre et même ceux qui vous appelaient autrement s’y mettent aussi.

Papou, vilain Papou, gentil Papou, papoulet ou Papou laid, Papoulou ou Papou-loup vos qualificatifs augmentent au fur et à mesure des années et puis un jour, ça y est, vous êtes un Papou, que dis-je, vous êtes Le Papou.

L’avez-vous choisi ? Oui, bien sur, un quart de siècle plus tôt sous condition d’une suite possible mais imprévisible.

En étiez-vous conscient ? Certes non sinon vous auriez, peut-être, fait autrement.

Finalement, un Papou peut-il être heureux de l’être ? Bien sur, presque tout le temps sauf quand c’est trop injuste.

Ah non ! Ça c’est Caliméro-Papou !

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21 mai 2010 5 21 /05 /mai /2010 15:11

Bon, c'est vrai! Je suis un papou et fier de ceux qui m’ont amené à le devenir.

L’héritière qui a un sens de l’humour qui doit bien lui venir de quelqu’un m’a fait parvenir un fascicule sur cette ethnie de Nouvelle-Guinée.

 

J’aime la photo de la couverture, le haut du corps de couleur bronze comme le mien, enfin presque, le visage noirci, la chevelure que l’on devine laineuse et en boulle, le crane ceint d’un bandeau de tissus et de plusieurs en métal chaîné, une pièce de monnaie au haut du front. Dans son nez, des percings de plusieurs os de diverses formes, une petite chaînette et deux brindilles de bois auquel s’ajoute une petite plume rouge plantée sur le dessus de son appendice. Il porte aussi un pendentif en demi-lune qui s’accroche d’une oreille à l’autre, un collier de coquillages ou de dents et trois énormes bijoux pectoraux en demi-lune aussi.

 

Mais honnêtement, bien qu’un peu farfelu dans mes façons vestimentaires, je ne me vois pas porter ces attributs, d’abord parce que je suis douillet et qu’il n’est pas question qu’on me perce quoique ce soit et quand à la plume piqué dans le nez, je me la mettrais ailleurs.

Non pas là…mauvais esprit !…mais sur la tête comme mes chers indiens d’Amérique.


Enfin et que ce soit bien clair, je ne suis pas anthropophage ou si peu. C’est vrai je mange du porc, qui serait, selon certains scientifiques et aussi certains sociologues, très proche de l’humain.

Mais je n’ai jamais encore consommé mon prochain et sauf si je suis rescapé d’un accident d’avion dans la cordillère des Andes je ne l’envisage pas dans un avenir prochain.

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2 mai 2010 7 02 /05 /mai /2010 16:02

Pendant des années les passagers des compagnies aériennes ont eu la chance d’être très bien traités, même en classe dite économique ou peu importe le nom qu’on leur donnait.

Ils avaient droits à l’apéro, à un repas chaud, à des écouteurs pour la musique et d’autres petites attentions qui apaisaient le stress de voler à 10 000 mètres sans parachute.

Tout cela est en train de changer, certaines compagnies ont diminué voir pratiquement supprimé les services sur certains de leurs vols.

Ainsi notre compagnie nationale canadienne, qui considère que les vols à destination des USA ne sont pas des vols internationaux, a supprimé les repas chauds à bord de ces vols et vous offre "du choix, de la fraîcheur et des repas santé" (sic) sur ceux de plus de deux heures c’est à dire des sandwichs froids, des chips ou assimilés, des muffins ou des biscuits et des morceaux de fromage en sachet..

Ce que les américains et les anglophones de l’ouest canadien qui dirigent la compagnie, semblent considérer comme une nourriture de qualité.

Moins bien que dans les cantines scolaires; des sandwichs avec une marque commerciale en publicité, nous pouvons présumer qu’un jour Mc Do va bientôt nous offrir ses hamburgers et ses frites et pourquoi pas son logo sur la queue des avions ou mieux aux dos de chaque siège.

Au fait en deçà de deux heures, vous aurez seulement droit à des cacahuètes en petit sachet, ce qui vous permettra de passer un peu du temps de vol pour les compter. L’eau, les jus de fruits et le café sont encore offerts gratuitement mais pour combien de temps ?

Une dernière question me vient à l’esprit : cela fait maintenant des années que les diététiciens nous expliquent comment bien manger. Il semble que certains dirigeants n’ont rien compris.

Ne serait-il pas possible d'offrir, en même temps que l'achat d'un billet, la possibilité aux passagers qui le désirent, d'acheter un vrai repas chaud et de le payer en sus du billet. Les systèmes informatiques sophistiqués actuels permettraient de prévoir à l'avance, le nombre de repas sur chaque vol.

 

Pour voler les shadocks étaient obligés de pédaler, ne vous inquiétez pas cela va bientôt venir pour les

humains.

 

Au fait, la définition de l’adjectif international est :  quelque chose qui se passe entre deux nations. Nous devons admettre que notre compagnie aérienne considère notre pays comme appartenant aux États Unis d’Amérique. Ils devraient, le jour où ils auront besoin de l’aide gouvernemental, s’adresser directement à l’administration de Mr Obama.

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