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Un livre vit grâce à la recommandation passionnée qu’en fait un lecteur à un autre.

Henry Miller

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Le dernier homme de Margaret Atwood

23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 14:38

  Citations

Sur une idée de Chiffonette

 


La bonne société londonienne considérait l’Écosse comme un endroit barbare. Là-bas, les meutes faisaient peu de cas des raffinements des gens diurnes. Les loups-garous des Highlands avaient la réputation de faire des choses atroces et totalement injustifiées, comme porter des vestes d’intérieur à la table du dîner.

‘’Sans âme’’ de Gail Garriger

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23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 00:12

Lire est un plaisir qui parfois nous fait du mal. Alors, quand vous sentez que vous avez besoin d’un médicament type Prozac pour vous remonter, vous avez le choix de vous empoisonner avec un produit chimique ou de vous plonger dans une enquête du commissaire Montalbano.

En tout cas, moi, cela me fait un bien fou.

 

Camilleri2Je trouve, pour une fois, que le début du 4ème de couverture est bien mieux que tout ce que je pourrais écrire.

‘’Au Bercail, lieu agreste, fréquenté par les prostituées, les travestis et les dealers, on retrouve le corps  de l’ingénieur Luparello, parrain politique de la région.’’

 

Certes le corps est dénudé et l’ingénieur a commis des activités ‘’coupables’’ dans sa voiture mais la mort est naturelle selon le médecin légiste.


Alors pourquoi le commissaire s’entête-t-il à continuer une enquête inutile ?


Cette belle histoire de magouille politique et de trahison avec une touche de machisme sexuel et de relations inconvenantes (J’aime ce terme plus sérieux quand même que baisodrome familial) ne pouvait se passer qu’en Italie ou le premier ministre est un saint homme. Voyons!  Cela ne pouvait pas se passer dans un autre pays et encore moins en France.


Le dépôt légal de ce roman datant de 2000, il est donc inventé de toutes pièces et ne peut avoir aucunes relations avec des affaires postérieures (oh! J’ai honte) et présentes à nos mémoires.

 

Quand j’ai écrit que peu d’auteurs me faisaient sourire en les lisant, je dois présenter toutes mes excuses à Monsieur Andréa Camilleri et à son récurrent héros, il dottore Salvù Montalbano, commissario de Vigàta, Sicilia,  que j’avais oublié momentanément, heureusement.

 

Un excellent moment !

 

 

 

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

par Le Papou 

 

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22 juin 2011 3 22 /06 /juin /2011 15:13

  Ce n'est pas facile de chroniquer un roman qui a déjà été admiré par tout un bouquet de talentueuses blogueuses dont vous trouverez les noms et les liens à la fin de ce texte et qui l'ont toutes aimé presque sans aucun bémol.*

*Les fameux bémols du Papou.


Ça l'aurait été encore moins si mes sentiments avaient été contraire à l'unanimité, heureusement il n'en ai rien. C'est un roman dur, c'est une histoire atroce, c'est un monde déshérité et vulgaire mais c'est un excellent thriller et si bémol il y a, il va vous falloir aller jusqu'à la fin pour le savoir.

 

Flynn1

Dans les années 80, Libby, 7 ans, échappe au massacre de sa famille dans la ferme familiale. Son témoignage fait partie des éléments qui font condamner son frère Ben, 15 ans, à la prison à vie.

 

 

De nos jours, Libby est devenue une jeune femme dépressive et handicapée.  -en s’échappant de la tuerie en pleine hiver elle a perdu une partie des orteils d’un pied et un doigt d’une main-

Depuis sa majorité, elle a vécu de l’assurance vie de sa mère et de dons mais l’argent se fait plus rare.

 

Elle est contactée par des groupes de personnes intéressées par les meurtres, qui en discutent les motivations, les responsabilités et refont les enquêtes et, entre autre par un groupe de femmes convaincu de l’innocence de Ben. Dans le seul but d'obtenir de l’argent, Libby accepte de retrouver et de rencontrer les différents acteurs du drame encore vivants.

 

Son frère, qu’elle n’a jamais visité en prison, son père qui ne vivait plus avec la famille au moment de l’assassinat et d’autres dont elle va apprendre l’existence au cours de ses recherches.

 

Absolument convaincue de son témoignage lors du procès et de la responsabilité de son frère, elle va commencer à se poser des questions. Que s’est-il réellement passé dans la nuit du 2 janvier 1985 ?

 

Le personnage de Libby est admirablement campé par l’auteure, enfantines dans ses souvenirs, adultes dans ses actions, voleuses et menteuses, complètement inadaptée, enfermée dans sa responsabilité d’accusatrice et dans ses remords d’être encore vivante.

 

La construction du roman est fatigante avec l'alternance d'un chapitre sur les recherches de Libby, suivi d'un autre sur les évènements de 1985, soit vus par Patty la mère, soit par Ben.

J'aurais plutôt souhaité suivre l'évolution de l'enquête de Libby.

Mais cela amène très progressivement à comprendre la situation de la famille Day, l'état d'esprit de Ben l'adolescent mal dans sa peau, mal aimé, entraîné malgré lui dans des relations malsaines.

 

Gillian Flynn nous réserve un coup de théâtre pour expliquer la solution, plus complexe que prévue, de ces meurtres. Elle nous en avait pourtant fourni une clef mais tellement enfouie dans les méandres de l'imbroglio familial de la famille Day qu'elle ne pouvait pas vraiment attirer notre attention.

 

Bien joué !

 

Toutes les fleurs de ce bouquet, annoncé plus haut, ont aimé, Amanda, Canel, Cathulu, Cuné, Karine, Khatel,Lounima, Latite, Pimprenelle, Sassenach Stéphie et Ys

 

 

 

Le Bémol du Papou (et d'Amanda) :La solution et son coup de théâtre peuvent paraître peu vraisemblables mais cela ne retire rien à la qualité générale de cette histoire.


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20 juin 2011 1 20 /06 /juin /2011 14:19

J’avais bien apprécié ‘’Le mystère Napoléon’’ du même auteur, aussi, quand à ma fameuse ‘’foire’’, fameuse pour moi, chez un marchand de livres d’occasions, je suis tombé sur celui-là, il y eut comme un petit miracle contre une très modique participation : en sortant de l’évènement hebdomadaire, le bouquin se trouvait dans mon petit panier.

 

En 1308, Philippe Le Bel, pour renflouer ses finances, avec l’accord du Pape, Berry2a décidé de supprimer le riche Ordre des Templiers, devenu trop puis sant et fait brûler son grand maître Jacques de Molay. En mourant ce dernier lance une malédiction sur le roi et le pape et ceux-ci disparaitront dans l’année qui suit l’autodafé.

 

Malheureusement pour la trésorerie du souverain, les coffres de l’Ordre étaient vides ou presque et… la légende commence!

 

De nos jours, à Copenhague ou il s’est installé comme libraire, ‘’Cotton’’ Malone, ancien agent des services secrets américains doit rencontrer son ancienne patronne, Stéphanie  Nelle.

De loin il aperçoit un homme lui arraché son sac à main et, d’instinct, se lance à sa poursuite. Acculé sur le toit d’une tour, le voleur se jette dans le vide en criant ‘’Baussant’’*.

 

Stephanie Nelle est venue en Europe pour acheter un livre ancien lors d’une vente aux enchères. Considéré pourtant sans réelle valeur, ce livre est acheté très cher par un inconnu.

 

Quand vous saurez que le défunt mari de Stéphanie était un chercheur spécialisé en histoire et particulièrement celle des Templiers, qu’il s’est pendu à Rennes-Le-Château, lieu rempli de légendes depuis qu’un de ses curés, l’abbé Saunière, aurait utiliser un trésor pour réparer l’église paroissiale et fait construire un certain nombre d’édifices, que son fils Marc a disparu, enseveli sous une avalanche dans les Pyrénées.

Quand vous saurez enfin que Stéphanie a reçu, par la poste, le carnet de son époux et les informations pour acheter le fameux livre qui contiendrait des renseignements pour trouver le fameux trésor.

Vous comprendrez alors que Stéphanie et Malone décident de se rendre dans ce village pyrénéen.

 

Mais à Copenhague, d’autres ‘’malandrins’’ ont essayé de s’approprier le fameux livre.

Ces voleurs sont les membres de l’Ordre des Templiers, dirigé par leur Maréchal et responsable des opérations militaires, Bernard de Rochefort. (Serait-ce un clin d’œil au méchant des ‘’trois mousquetaires’’ ?) Cet Ordre, jamais complètement détruit, aurait survécu depuis 7 siècles dans un anonymat total.

 

Le grand maître de l’Ordre vient de mourir et les membres doivent désigner un successeur entre son adjoint, le Sénéchal et de Rochefort.

 

Je ne vous dévoilerais rien d’autre, l’histoire, basée sur la légende de Rennes Le Château, l’Ordre des Templiers, leur Trésor et la Résurrection du Christ, est admirablement embrouillée, la lecture en est facile et au cours des 666 pages, on y parle même d’un démon (Tiens! Tiens!).

 

Si vous aimez les enquêtes basées sur l’histoire, les affaires compliquées et les romans qui se terminent bien, alors vous devriez être conquis.

 

Je terminerais avec une simple question : Et si la résurrection de Jésus n’avait jamais eu lieu, quel pourrait-être la puissance de ceux qui en auraient une preuve effective et comment réagirait  l’église catholique ?

 

*Baussant : Cri de guerre des Templiers


Bonne lecture

 

 

 

 

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

par Le Papou 

 

PS: Ainsi qu'il semble le faire dans chacun de ses romans, Steve Berry nous indique à la fin, ce qui appartient à l'Histoire et ce qu'il a inventé. Cela m'évitera, ainsi, de faire des affirmations irréelles comme... Tiens! il ne dis rien sur l' existence de l'Ordre des Templiers de nos jours ?

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16 juin 2011 4 16 /06 /juin /2011 14:29

Citations

 

Un pope dans la quarantaine, maigre comme un clou de crucifix, se lève de son siège en se passant la main dans la barbe pour nous accueillir.

''L’empoisonneuse d’Istanbul'' de Petros Markaris

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16 juin 2011 4 16 /06 /juin /2011 02:21

Pour moi, l'été c'est le temps des salades de toutes sortes et d'utiliser les restes.

vous ayez dans votre réfrigérateur :

- du chou-fleur cuit à la vapeur

- un reste de poisson

 

Faites-en une petite salade fraîche pour une soirée trop chaude.

 

Pour 2 personnes vous aurez besoin de :

 

300 gr de chou-fleur

1 tomate 

200 gr de poisson

1 citron

2 c/soupe d'huile d'olive

1 échalote

Sel et poivre

persil

 

Dans un saladier, versez l'huile puis le chou-fleur, salez, poivrez puis mélangez doucement pour bien enrober le chou.

Coupez la tomate en petit dés, épluchez et hachez l'échalote, salez et poivrez de nouveau.

Émiettez le poisson et ajoutez-le.

Pressez le citron, versez le jus, rapez un peu de zest par-dessus puis mélangez de nouveau.

Ajoutez le persil et servez.

 

J'ai fait cette recette avec un reste de truite saumonnée mais n'importe quel poisson fera l'affaire. Si vous n'en avez pas, utilisez du thon ou du saumon en boite.

Soyez fou, regardez ce qui vous reste et utilisez-le : riz blanc, haricots verts cuits que vous couperez..etc.

Si vous n'avez pas assez de poisson, ajoutez un peu de feta ou quelques olives kalamata (pour les grecs) du fromage de chèvre ou des petits morceaux de poivron (pour les autres).

 

Vous serez surpris de la fraicheur que procure la ''citronnette'' (on ne peut quand même pas l'appeler vinaigrette) et si vous n'aimez pas le citron prenez du vinaigre pas trop fort ou du balsamique.

 

 

Bonne appétit

 

 

 

 

 

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15 juin 2011 3 15 /06 /juin /2011 14:41

 

Après quelques lectures difficiles, je souhaitais une lecture gaie, enjouée, facile, voir comique. Ce voeu-là n'a pas été exaucé mais ce livre mérite d'être lu.

 

Lewycka1L’histoire débute dans une fraisière anglaise au moment où un entremetteur louche amène Irina une jeune et jolie ukrainienne. Elle y rencontre ses futurs collègues, ramasseurs de fraises, Yola, la chef d’équipe polonaise, frustre et peu farouche, sa nièce Marta, bigote, moche et célibataire, Chinoise 1 et Chinoise 2, sans nom et interchangeable, Andriy, ancien mineur ukrainien, Tomasz le guitariste polonais qui pue des pieds, Emanuel, un jeune africain du Malawi. Tous vivent dans deux caravanes stationnées à côté des champs, une pour les femmes et l’autre pour les hommes. 

 

Tout au long du roman, l’auteure nous présente des loosers sans volonté, des anarchistes sans avenir, des vilains, des méchants, des profiteurs, des tricheurs, des violeurs, des qui puent, des qui bouffent n’importe quoi, des qui pissent n’importe-où, des qui souhaitent baiser n’importe comment.

 

Le monde anglais que dénonce Marina Lewycka, sur un ton caustique et humoristique, en est un sans loi. Travail au noir, exploitation des émigrés, usines d’élevage, d’abattage et de mise à la consommation d’aliments pourris et dégueulasses.

 

J’ai quelques aveux à vous faire. J'ai très rarement rencontré, dans ma vie de lecteur, des écrivains qui m’on fait rire.

Si ce road-book, ce road-trip d’émigrés plus ou moins clandestins en Angleterre, débute assez follement, j’ai ressenti, ensuite, un malaise persistant pendant une bonne partie de cette lecture et un désintérêt complet pour une fin, style Harlequin, plus amusante.

 

Et puis tout ne me fait pas rire, et que ce qui me fait rire ne fait pas toujours rire les autres*. Encore plus surprenant, des situations proches peuvent avoir des résultats complètement opposés. Tout dépend de la manière, du vocabulaire, du talent du conteur et ...de mon humeur.

 

J’ai quand même apprécié ce roman. Le style est comique, les situations drôles, les aventures bouffonnes et les personnages admirablement campés. 

 

Mais tout ce qui concerne l’exploitation de la misère ne m’a jamais fait sourire, encore moins rire. La cupidité des exploiteurs, l’utilisation d’êtres humains comme esclaves robotisés ou sexuels, la méchanceté alliée à la bêtise me gênent quand elles ne me font pas horreur.

Comment peut-on utilisé les plus démunis, les plus pauvres, les plus miséreux, les plus affamés, les moins éduqués pour faire de l’argent en les traitant pire que des animaux, en les faisant travailler comme des esclaves, coucher dans la fange et la merde, manger des saloperies infectes sans parler des harcèlents sexuels.

 

Dans les films, comme dans les romans, je suis mal à l'aise dès que des personnes innocentes sont maltraitées, bousculées et violentées.

 

Marina Lewycka dénonce les exploiteurs de la misère, les profiteurs du système et  le fait très bien. Elle ne m’a pas fait rire, elle ne m’a pas donné cette lecture gaie et facile que je souhaitais, mais elle m'a donné de quoi réfléchir.

 

Plusieurs blogueurs ont adoré. Leiloona, Cuné et Brigitte ont trouvé cette histoire sinon hilarante du moins humoristique. 

 

 

 

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

par Le Papou 


 

*  Et moi, ce n’est rien à côté du compagnon de l’héritière.

 

Le bémol du Papou :

Je me suis demandé si l’auteur ne se vengeait pas de son statut d’émigrée en Angleterre.

 


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11 juin 2011 6 11 /06 /juin /2011 14:43

Autre manière pour les côtes de porc, pas plus compliquée.

 

 

Il vous faut:

 

Pour 4 personnes

 

4 côtes de porc

50 g de beurre ou 2 cuillers d'huile
3 cuillères à soupe de crème fraîche
1/2 verre d' eau chaude
2 cuillères à soupe de moutarde de Dijon

 

Faites chauffer le beurre ou l'huile dans une poêle et faites dorer les côtes de chaque côté.

Délayer la moutarde avec l'eau et versez dans la poêle.

Couvrez et laissez cuire à feu doux 20 minutes.

Sortez les côtes et réservez-les au chaud.

Versez la crème dans la poêle et laissez épaissir en remuant.

Arrosez les côtes avec cette sauce et servez.

 

 

Je ne sale pas, la moutarde étant suffisamment salée.

Il m'arrive d'ajouter quelques grains de poivre entier au moment de servir juste pour faire joli, et puis j'aime le poivre.

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10 juin 2011 5 10 /06 /juin /2011 22:36

Il faut que j'évite certains lieux de perdition.

Aujourd'hui j'avais une commande spéciale de Petit-Héritier benjamin. Cette commande fut remplie à sa satisfaction pleine et entière.

Seulement, d'autres objets se sont retrouvés dans le sac en plastique sans que je m'en rende compte.

 

Meyer1.jpg

 

 

''13 heures'' de Don meyer dont j'avais apprécié en son temps ''les soldats de l'aube''

 

 

 

 

Hosseini1.jpg

''Les cerfs-volants de Khaboul'' de Khaled Hosseini qui me tentait depuis longtemps, moi qui aimait en jouer, mais pas à Khaboul

 

 

 

Hagena1.jpg

''Le goût des pépins de pomme'' de Katharina Hagena. Autant de blogueuses qui ont aimé ne peuvent pas toutes s'être trompées.

 

 

 

 

Je vais donc goûter incessamment aux pépins de pommes vers 13 heures dans Khaboul, perché sur un cerf-volant, mais pas tout de suite, il suffit que je sache qu'ils m'attendent. Le plaisir de l'attente est souvent supérieur à celui de l'action.

 


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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 18:37

Citation pour l’héritière :


‘’Moi, je crois que la grammaire, c’est une voie d’accès à la beauté. Quand on parle, quand on lit, quand on écrit, on sent bien si on fait une belle phrase ou si on est en train d’en lire une… Mais quand on fait de la grammaire, on a accès à une autre dimension de la beauté de la langue. Faire de la grammaire, c’est la décortiquer, regarder comme elle est faite, la voir toute nue, en quelque sorte. Et c’est là que c’est merveilleux.’’


‘’ L’élégance du hérisson’’ de Muriel Barbery

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