Sur une idée de Chiffonnette
''Dès le premier film, ‘’Le goût du riz au thé vert’’ j’avais été fasciné par l’espace de vie japonais et par ces portes coulissantes refusant de pourfendre l’espace et glissant en douceur sur des rails invisibles. Car lorsque nous ouvrons une porte, nous transformons les lieux de bien mesquine façon…Si on y réfléchi bien, il n’y a rien de plus laid qu’une porte ouverte.''
‘’ L’élégance du hérisson’’ de Muriel Barbery (eh oui! encore)