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Le dernier homme de Margaret Atwood

28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 17:03

AChristie1Sir Claud Armory est mort.

Plus grave, il a été empoisonné en buvant son café.

Pire encore, le meurtre est survenu dans sa maison du Surrey, au milieu de sa famille et d’un seul invité.


Sir Claud, savant reconnu, venait de trouver la formule d’un explosif  beaucoup plus puissant que tous ceux connus jusqu’alors.

Il avait demandé au célèbre détective retraité, d'origine belge, Hercule Poirot de venir passer quelques jours dans son cottage car il soupçonnait quelqu'un de vouloir voler la formule.


A l’arrivée du détective, la formule avait disparu et Sir Claud n’était plus.


Poirot va devoir faire travailler ses petites cell ules grises pour trouver le coupable entre Richard, le fils du savant, Lucia, sa jeune épouse italienne, Caroline, la sœur du savant, Barbara, sa nièce, Raynor, le secrétaire, et le Dr Carelli, l’invité italien de Lucia.


J’ai déjà mentionné dans un billet précédent  qu’intrigué, à mi-lecture, j’avais regardé le 4ème de couverture qui mentionnait que ce livre était, en fait, une pièce de théâtre, adapté par un dénommé Charles Osborne, inconnu pour ma part, mais qualifié ''de biographe et fin connaisseur d’Agatha Christie'' par l’éditeur.

Je ne trouverai qu’avec l’œuvre originale, ce qu’à ‘’adapté’’ l’adaptateur, mais je pense que les intrigues et les coups de théâtre (évidemment) étaient suffisants à l’origine pour que l’histoire n’en soit dénaturée.


Poirot est toujours aussi imbuvable qu’intelligent, Hastings, revenu d’Argentine, aussi incapable  d’imagination et les personnages, comme toujours avec Agatha Christie, admirablement campés, remplis de contradictions, de mystères et de surprises.


Elle nous distille de petits indices qui nous font croire à la culpabilité de l’un puis de l’autre pour qu’enfin Poirot nous procure la solution, qui cette fois, était devinable et presque devinée.


Pour un nouveau plongeon dans l’œuvre de ce magnifique auteur, j’avoue que ce n’était pas le top, mais c’était loin d’être déplaisant.

 

 

 

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

par Le Papou 

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commentaires

N
<br /> j'ai bien aimé "black coffee" - lu il y a très longtemps, je m'y remettrais bien d'ailleurs<br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Il ne faut pas hésiter, en anglais ?<br /> <br /> <br /> <br />