Je l'avais relue et corrigée plusieurs fois, comme souvent, et j'étais presque content de la dernière mouture. Presque, car je ne le suis jamais tout à fait.
Parfois je trouve une tournure de phrase, super, extraordinaire, merveilleuse, digne d'un grand écrivain... euh, j'exagère peut-être un peu.
Si je ne l'écrits pas tout de suite, elle disparait dans les circonvolutions de mon cerveau, côté mémoire et ne revient que plusieurs jours plus tard voire jamais.
Je suis presque certain que j'en avais trouvé une, ce qui, pour moi, est déjà beaucoup et ce matin j'ouvre overblog, je pitonne* sur le brouillon d'article et n'apparait que la fin soit le post scriptum et les *** dont je suis friand et qu'on retrouve régulièrement dans mes chroniques.
MAIS OÙ DONC CE *&?%$#! D'OVERBLOG A T-IL FOURRÉ
MON !@#$%# D'ARTICLE
* (friand ai-je dit) Pitonner en québécois : appuyer sur un piton ou une touche