Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le Hibou et le Papou
  • : les C.D.G. du HibouLes Voyages du PapouLes Commentaires du Hibou et du PapouQu'est ce qu'on mange ?
  • Contact

Recherche

Texte Libre

Un livre vit grâce à la recommandation passionnée qu’en fait un lecteur à un autre.

Henry Miller

Archives

Nouvautés dans ma PAL

Le dernier homme de Margaret Atwood

23 novembre 2013 6 23 /11 /novembre /2013 16:53

Ça Commence Comme Ça !

 

 

 

"Je suis le sixième d'une famille de neuf enfants : six garçons et trois filles. Ma mère s'appelle N'Dew Diouf  et mon père, Amath Diouf. Je suis né et j'ai grandi dans la province du Sine, le fief de l'ethnie sévère du Sénégal. Traditionnellement les Sévères sont des éleveurs de zébus et des cultivateurs d'arachides.

J'ai fait des études supérieures... parce que je voulais m'accorder le maximum de chances d'échapper aux tâches agricoles. Comme on dit au Québec, "cultiver les arachides, c'est travailler pour des peanuts".

 

Sous l'arbre à palabres, mon grand-père disait... de Boucar Diouf

 

Partager cet article
Repost0
23 novembre 2013 6 23 /11 /novembre /2013 16:29

Pour vous donner envie...

de lire

Sous la glace

de

Louise Penny

 

On mettait au four une surabondance de tartes et de plats cuisinés. Des bols, débordant de gingembre confit de cerises au chocolat et de fruits glacés, étaient posés sur le buffet à côté des puddings, des gâteaux et des biscuits*.

* Bon, d'accord, je n'ai pas droit à tout ça. Mais ça donne envie d'aller à Three Pines, non ?.

 

En hiver, au Québec, tout le monde était pareil, semblable à des guimauves colorées*.

* C'est toujours comme ça.

 

... pour mener au meurtre la colère doit fermentée longtemps, souvent dissimulée sous une couche de sourires et de modération*.

*Heureusement, on se retient.

 

Vos croyances deviennent vos pensées.

Vos pensées deviennent vos paroles.

Vos paroles deviennent vos actes.

Vos actes deviennent votre destinée*.

Gandhi

* à méditer

 

S'ils pensent qu'ils ont quelque chose à vous reprocher, les gens ressentent une certaine supériorité. Dès que vous vous excusez, ils n'ont plus rien. Ça les emmerde.

 

Bonne lecture !

Partager cet article
Repost0
23 novembre 2013 6 23 /11 /novembre /2013 15:08

Louis Penny nous propose un personnage exécrable, détestable, épouvantable, haïssable, odieux, et pour ajouter l'injure à l'opprobe, mère indigne et épouse infernale. Ceci dit, méritait-elle d'être électrocutée pendant une partie de curling sur le lac gelé ?

Peut-être ! Non, bien sur.  Elle avait un côté que j'appréciais, elle se prenait pour Aliénor d'Aquitaine*, personnage historique que j'adore malgré son ambiguité et ses choix maritales.

* Ici -> mon billet sur cette double reine

 

Dans le petit village de Three Pines, introuvrable* sauf si on se perd, il se passe parfois de vilains évènements qui permettent à Armand Gamache d'y revenir et de retrouver avec plaisir ses habitants qui, en dépit de leurs fêlures** passées, y ont trouvé amitié et sérénité.

* Malheureusement.

** On parle beaucoup de fêlures.

 

CC de Poitiers a donc été assassinée par électrocution au milieu du lac gelé sous les yeux d'un village entier... qui n'a rien vu. Gamache et son équipe vont devoir trouver le modus operandi, les raisons, et enfin le meurtrier.

 

En même temps, notre enquêteur, en revisitant des affaires non résolues, trouve dans la boite des indices du meurtre d'une sans-abri, un livre de poésie de Ruth Zardo, la poétesse du village et quelques lettres majuscules sans signification.

 

Voilà, vous savez le principal. Il est évident que les deux meurtres vont se relier mais Louise Penny nous entraine habilement vers une multitude de fausses pistes et le lent Gamache s'y aventure allègrement*.

* Lent et allègrement ! Je me surprendrai toujours...

 

Le titre de ce livre aurait pu être "Les conséquences d'une l'enfance maltraitée" mais comme dirait mon petit Lou, "c'est trop facile !".

 

Le principal personnage de ces enquêtes reste le village. Lors de ma première lecture*, je souhaitais m'y réchauffer avec un thé et des muffins, cette fois-ci, j'irai bien y fêter Noël*.

* Vous serez pourquoi dans mon prochain : "Pour vous en donner envie."

 

PS: Je conseille cette lecture à tout ceux qui ne connaisent pas la beauté et la fraîcheur des hivers québécois.

 

Sous la glace  de Louise Penny, Flammarion, 2011, Policier

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

 

Le bémol du Papou : J'avais trouvé le meurtrier bien avant notre détective, mais ça n'avait aucune importance.

 

 

 

Partager cet article
Repost0
20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 22:36

Fatigué d'overblog ou plutôt fatigué d'overbug !

 

Seulement, je ne suis toujours pas décidé à débarquer. La peur de changer mes vieilles habitudes, de presque cinq années.

Eh oui ! Ce blog va fêter à la mi-2014* ses 5 années.

*Exactement à la miaou a soufflé Le Grisou Farceur  au Hibou Grognon.

 

Depuis quelques jours, le système de publication, qui fonctionnaient parfaitement, a été "amélioré" et déconnent maintenant complètement.

Ainsi les billets du Papou, qu'attendent avec impatience deux lecteurs et demi*, ne s'annoncent plus sur le réseau social Facebook, en dépit d'un partage et de paramètres corrects.

*Je voulais écrire 2,5 mille. (minimum)

 

Overblog avait aussi décidé de boycotter les commentaires des vingt cinq mille lecteurs, commentaires qui devaient certainement saturer leurs ordinateurs. Il semble que ce bug-là est été insecticidé. Ça marche, de nouveau...jusqu'à quand ?

 

Enfin, finalement, et pour terminer*, j'ai l'impression que l'aptérix voudrait que je passe en prémium pour, je suppose, me faire payer des frais.

*Pléonasme est un de mes prénoms favoris

 

Ce blog est un amusement, un plaisir de partager les lectures, les voyages et quelques recettes. Un plaisir qui me prend du temps que je ne passe ni à lire, ni à visiter, ni à manger. C'est aussi un labeur difficile pour éviter fautes d'orthographes, barbarismes, répétitions ou autres pièges de notre langue. C'est souvent dans ce difficile travail que je trouve un certain plaisir*.

*Masochiste en est un autre

 

Je préviens gentiment Monsieur Overblog et Madame "Fruit qui ne vole pas" que je ne paierai pas un sou donc, continuer à trouver des solutions pour fatiguer la bête et, la bête essaiera un autre site ou bien fera autre chose. Ce qui serait désolant pour les deux cent mille lecteurs et demi.*

*Re minimum

 

Je souhaiterais présenter, aux deux millions et demi de lecteurs, mes plus sincères excuses pour ce Coup De Gueule mais, ça fait du bien.

 

Hubert Le Z'Hibou

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 19:25

Rendons à César etc... et à Dulcinée...

 

Il vous faut :

1 cuisse de poulet, avec os et sans peau, par personne

1 sachet de graines de sésame

1 œuf

Huile

Sel & poivre

 

Préchauffer le four à 190 C (375 F), la grille au centre.

Battre l'œuf, saler et poivrer.

Badigeonner les cuisses avec un pinceau.

Enrober-les dans les graines de sésame soit en les secouant dans un sac plastique les contenant soit en les roulant sur les graines, étalées sur du papier sulfurisé.

Saler et poivrer.

Mettre deux cuillers à soupe d'huile dans un plat allant au four, y  poser les cuisses et faire cuire pendant 1 heure où jusqu'à ce que la viande se détache des os.

Et c'est tout.

 

Pour ceux qui ont un problème avec l'œuf, Vous pouvez le remplacer par un peu d'huile et si vous en avez ce devrait être meilleur avec de l'huile de sésame.

 

Bonne appétit !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 22:35

Afficionado de Cathulu, mon billet, cette fois, ne sera pas aussi concis que les siens mais sera largement plus court qu'à l'habitude.

 

Je ne suis ni fauconnier ni chasseur.

J’ai un penchant pour les rapaces nocturnes et non diurnes.

 

Pourtant, j’ai apprécié cette randonnée du Montana jusqu’au Nouveau-Mexique en compagnie de Dollie, un jeune faucon pèlerin femelle, que le narrateur voulait ramener à la vie sauvage.

 

Je suis un enfant* des villes, baptisé au sirop de trottoir, pourtant les livres sur la nature m’ont presque toujours rempli d’une certaine félicité, le dépaysement peut-être , ou l'envie,  ou la jalousie d’être complètement incapable d’y subvenir à mes besoins.

*vieil enfant serait plus approprié…mais enfant quand même.

 

Comme l'a mentionné Choupy, :  '"il faut le lire".

Vous passerez un excellent moment, rencontrerez des gens simples et heureux, apprendrez quelques bribes de l'histoire des États-Unis et connaitrez certaines vérités sur les abérrations environnementales que  provoquent certaines décisions économiques.

 

Rites d'automne de Dan O'Brien, Folio, 1988, 247 pages, Récit.

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

 

Le bémol du Papou : Ceux qui abhorrent la chasse de subsistance devraient plutôt lire un thriller bien glauque sur un tueur sadique.

 

 

 

Partager cet article
Repost0
16 novembre 2013 6 16 /11 /novembre /2013 16:44

Voici quelques passages de "Allumer le chat"

de Barbara Constantine

pour vous donner envie !

 

"Interdire le doute, c'est devenir le maitre."*

*De quoi réfléchir

 

"Si on ne se rend pas compte de son peu de talent pour le football, on reconnaitra au moins sa grande tenacité...c'est important la tenacité. Surtout quand on se destine à faire médecine."

 

"Le jour de l'enterrement de son père, Édith apprend que son père est vivant."

 

...et Farid ? ben, il pourrait peut-être lui trouver un éditeur ? Il lit plein de livres, alors il doit forcément connaitre plein de monde là-dedans, à force."*

* N'est ce pas, oh lectrices et lecteurs compulsifs ?

 

"Josette pense à Rémi, est-ce que d'être élevé par des vieux c'est une bonne chose pour un enfant, parce que vieux, ils le sont un peu Raymond et Mine...Et puis d'un autre côté, est-ce que d'être élevé par un couple homosexuel, ça ne poserait pas plus de problèmes, finalement..."*

* Finalement...le problème c'est plutôt de les élever.

 

"De faire croire qu'on est mort n'est pas simple à vivre."*

*Je l'aime celle-là.

 

"Plus les boulots sont chiants, moins ils sont payés."*

* Et celle-là !

 

Bonne lecture !

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 13:46

J’ai lisé* « Allumer le chat »

*Liser : lire avec une liseuse (dictionnaire : Le Petit Papou moderne)

 

Il y a des auteures* et des auteurs que j’aime. Barbara Constantine en fait partie.

*Surtout des * avec e*.

 

Dans ses bouquins, il y a toujours un enfant. Cette fois-ci il se nomme Rémi, même pas 6 ans, au visage couvert d’eczéma, le fils de Josette à qui Raymond, son père, ne parle plus depuis huit ans.

Généralement on y trouve une bonne personne. La douce Mine, la mère de Josette, la grand-mère de Rémi et l’épouse de Raymond qui réussit à le convaincre  de soigner leur petit-fils.

Bien sur, on rencontre aussi quelques vilains comme Martial, le père de Rémi, qui préfère batifoler avec Édith, la "meilleure amie" de Josette, ou Robert le père d’Édith qui n’est pas son vrai père, qui ne le sait pas, et aurait causé le suicide de sa femme, vraie mère d’Édith, elle.

 

De nombreux personnages pittoresques s'agitent aux alentours. Pierrot le croque-mort qui photographie artistiquement ses clients, Momo le fossoyeur braconnier, Geneviève la femme de ménage et son tolard inconnu, Marie-Rose qui veut écrire un livre de recettes "sauvages" comme "Le pâté de rats", Monique qui traduit des  polars américains, qui a quitté sa famille avec son cadet Jack, 10 ans et alcoolique. D'autres encore que j'ai dû notebooker* au fur et à mesure pour m'en souvenir.

*Notebooker : prendre des notes sur une liseuse (le Petit  Papou moderne)

 

Et puis il y a les évènements qui bousculent le traintrain des familles. Martial qui décède après avoir télescoper un cerf, et Robert le Stupide, qui se tue en essayant un piège à cambrioleurs. Les retrouvailles d’Édith et de Josette qui, après la mort de leur mari et amant, se trouvent des affinités sexuelles.

 

Il y a surtout un énorme secret qui se dévoile au fur et à mesure de notre lecture.

 

Même si j’ai passé un excellent moment, je n’ai pas éprouvé le même bonheur qu’avec « Tom petit Tom tout petit homme Tom », où je mentionnais déjà la simplicité de l’écriture, et surtout avec « Et puis Paulette… », auquel j’avais accordé un petit .

 

 « Allumer le chat » étant le premier roman édité de l'auteure, l’histoire de Tom son quatrième et celle de Paulette son cinquième, il y a donc une progression qui, si elle n’est pas garante de l’avenir, me rend impatiemment curieux de son prochain.

En attendant il me reste  « A Mélie, sans mélo » et « Voisins, voisines et Jules le chat », les numéros deux et trois.

 

Chat ! J'oubliais Le Chat ! Il y a toujours un chat... ou deux. Dans celui-ci, chez Raymond et Mine, vit Bastos, le chat philosophe, que Raymond voulait "allumer" car il avait l'impression qu'il se foutait de sa gueule, ce qui, d'ailleurs, n'était pas faux. Puis survient Riton qui, comme son nom ne l'indique pas, est une chatte. Ce n'est jamais facile de déterminer le sexe d'un chaton*.

*J'en sais quelque chose. Hein Grisette, devenue Grisou.

 

Les histoires de Barbara Constantine sont simples mais pas banales. Certains auteurs, à force de vouloir en mettre plus que les autres, plus long, plus gros, plus sanglant, plus sexuel, plus qu’hier et moins que demain, oublient que la simplicité est une force. Barbara Constantine c’est cela, ajoutée à un joli talent de conteuse. On est dans la vie ordinaire où les gens parlent comme des gens ordinaires et non comme des académiciens. On est d’ailleurs loin d’une écriture verdâââtre  avec chapeaux emplumés et épées damassées. Je m'y sens confortable.

 

Mango en a parlé, Khatel aussi et Papillon, et Leiloona.

 

Allumer le chat  de Barbara Constantine, Calmann-Lévy, 2006, 261 pages, Roman.

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

 

Le bémol du Papou  : Comme mentionné plus haut, un langage ordinaire me plait mais, il doit toujours être ...compréhensible, sans trop d'efforts pour le lecteur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 14:07

Résolution Christienne no 22

+-+-+

 

Mademoiselle Lemon est la parfaite secrétaire d’Hercule Poirot, aussi quelle n’est pas sa surprise de trouver des fautes dans un texte qu’elle vient de taper à la machine à écrire*.

*Eh oui ! C'était pas facile, à cette époque, de taper des SMS.

 

Elle est perturbée par les évènements survenus dans une pension d’étudiants, gérée par sa soeur.

 

« Je vais vous lire la liste des choses qui ont disparu chez nous. » dit Mrs Hubbard, invitée par notre détective à prendre le thé.

« Un soulier de bal, un bracelet de fantaisie, une bague en diamant (retrouvée dans le potage), un « compact » de poudre de riz, un bâton de rouge à lèvres, un stéthoscope, deux boucles d’oreille, un briquet, un vieux pantalon de flanelle, des ampoules électriques, une boîte de crottes de chocolat, une écharpe en soie (retrouvée en morceaux), un sac à dos (même observation), de l’acide borique (en cristaux), des sels de bain, un livre de cuisine. »

 

Les actes d'un probable kleptomane ne satisfont pas notre détective belge qui perçoit l'éventualité d'un drame plus sérieux.

 

Pourtant la situation parait bien anodine jusqu'au premier meurtre, par empoisonnement, d'une étudiante, suivi de celui de Mrs Vanilos, la propriétaire de la pension..

 

Pendant que l’inspecteur Sharpe mène son enquête,  on suit assez peu Poirot qui semble beaucoup plus préoccuper par le sac à dos retrouvé déchiqueté, par la disparition du stéthoscope et le vol des ampoules électriques.

 

"Pension Vanilos" se distingue par deux situations originales : un nombre de suspects plus important que d'habitude et l'absence de la réunion qui permet souvent à notre détective son coup de théâtre final.

 

Pension Vanilos d’Agatha Christie, Librairie des Champs-Élysées, 166 pages, Policier

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime


Le bémol du Papou : Aucun bémol pour notre Lady ...as usual!

 

 

Partager cet article
Repost0
10 novembre 2013 7 10 /11 /novembre /2013 14:43

Plat facile qui nécessite de l'huile...de coude.

 

Ingrédients pour 4 personnes :

600 gr de blanc de poulet

1 brocoli

1 courgette (zucchini) ou 2

1/4 de poivron

1 oignon moyen

1 morceau de 3 cm de gingembre frais, rapé ou haché menu

Sel & Poivre

Huile pour la cuisson (de sésame si vous avez)

 

Facultatif :

1 petit piment fort ou quelques gouttes de Tabasco

1 cuiller de sauce soja

 

Le brocoli étant vert, vous pouvez utiliser une courgette jaune et un poivron rouge pour obtenir un  plat coloré.

 

Couper le poulet en lamelles. Préparez le brocoli en petits bouquets. Éplucher à moitié la courgette et couper-là façon frites. Nettoyer l'intérieur du morceau de poivron et couper-le comme la courgette, Éplucher et hacher l'oignon.

 

Dans un wok ou à défaut dans un poêlon, mettre l'huile à chauffer à feu fort. Quand l'huile est chaude, verser l'oignon, brasser 2 ou 3 fois avec une spatule puis mettre le gingembre.

Quand l'oignon a pris une légère couleur (ça va vite) ajouter le poivron, laisser cuire 2 minutes puis ajouter le brocoli.

Remuer toujours le tout. Quand le brocoli est presque cuit à votre goût* (il faut goûter), ajouter le poulet et la courgette, saler et poivrer.

Brasser encore jusqu'à ce que le poulet soit cuit.

Rectifier l'assaisonnement et servir chaud.

*Je l'aime légèrement croquant

 

Les ajouts ou les modifications.

Vous pouvez remplacer le brocoli par un chou-fleur et pour varier les couleurs, une courgette verte et un poivron jaune.

Vous pouvez ajouter quelques champignons de Paris coupés en quatre en même temps que le poulet.

 

Avec la sauce Soja (ajoutée en même temps que le brocoli), ne pas saler.

Avec le piment haché ou le tabasco (ajouté en même temps que le poulet), ne pas poivrer.

 

 

 

Partager cet article
Repost0