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Un livre vit grâce à la recommandation passionnée qu’en fait un lecteur à un autre.

Henry Miller

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Le dernier homme de Margaret Atwood

24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 05:06

Ce roman repose sur deux questions :

Après son voyage de 5 ans sur le « Beagle », pourquoi Darwin a-t-il mis 23 années pour écrire sa théorie sur ''l'Origine des Espèces au moyen de la Sélection Naturelle ?''

Existe-t-il un lien entre ce voyage, les maladies dont il commence à souffrir l'année qui a suivi son retour et la parution de son œuvre ?

 

J'en rajouterai une autre concomitante : Darwin est-il vraiment le véritable créateur de la théorie qui l'a rendu célèbre ?

 

Ce roman se compose en 3 parties qui se chevauchent :

Hugh Kellem vit en solitaire depuis plus de 6 mois sur l'ile ''Sin Nombre*'' des Galapagos. Il y mesure la taille des becs des pinsons de l'ile**. Il est enfin rejoint par deux autres scientifiques dont Elizabeth Dulcimer dite Beth, une jolie américaine et Nigel, anglais et petit ami de Beth. Malheureusement, le décès de la mère de Beth entraîne leur départ rapide. Ne pouvant plus supporter la solitude, Hugh demande son remplacement et retourne en Angleterre où il débute des recherches sur Darwin.

* ‘’Sans nom’’

** Voilà un travail scientifique dont l'intérêt n'échappera à personne.

 

En 1831, Charles Darwin réussit à embarquer comme scientifique sur le ''Beagle'' qui doit effectuer un voyage d'études autour du monde.

Il y retrouve comme médecin du bord, un ancien congénère de faculté, Robert McCormick. Leur animosité étudiante s'intensifie quand Darwin est chargé des prélèvements, ce privilège étant, de coutumes, réservé aux médecins.

 

Les recherches de Hugh le remettent en contact avec Beth qui a entrepris, elle-aussi, des recherches sur Darwin, qui pourrait être un de ses ancêtres. Après quelques cachoteries dont sont coutumiers les chercheurs, ils décident de s'associer et découvrent un livre de comptes dans lequel Lizzie, une des filles de Darwin a caché son journal personnel qui leur permet de connaître la vie de Darwin et de sa famille durant les années qui ont suivi le voyage du ''Beagle''.

 

Il est évident que je ne répondrais pas à la question sur l'origine de la théorie. Est-elle de Darwin ? Est-elle de Wallace, un autre scientifique anglais ? Est-elle de Mc Cormick ? Est-elle du signataire de ce billet ?

Rien n'est jamais simple dans le monde des chercheurs !

 

Un roman d'Aventures avec des ''Sauvages'', des volcans et des animaux inconnus, mais surtout un roman d'enquêtes et de recherches dans les bibliothèques, où se mêlent le passé difficile de Hugh, la généalogie de Darwin et un roman d'amour.

 

Allie en a parlé au siècle dernier*.

*ou presque

 

La conspiration Darwin de John Darnton, Michel Lafon, 2006, 306 pages, roman historique

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

 

Le bémol du Papou : Dès le début, on devine ... et c'est énervant ! Mais on devine quoi ? Bonne question ! Il vous faudra lire le roman pour le savoir.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 17:12

Selon Chiffonnette qui ne blogue plus mais reste responsable.

 

Les étoiles sont les yeux de Dieu et elles nous ont surveillés depuis le commencement du monde.

 

''La malédiction des colombes'' de Louis Erdrich

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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 14:21

J'avoue que pendant ce mois passé dans le fin fond du Périgord, j'ai, un peu, laissé tomber* mes rendez-vous ponctuels du Ç.C.C.Ç., du Jeudi de Chiffonnette et des Hiboux de Z'Hubert.

*L'ordinateur ramait trop fort et j'ai passé mon temps à trouver des solutions pour mes billets sur le Kiwi.

 

Commençons par mon roman en cours.

 

Ça Commence Comme Ça

 

 

''Le fusil s'enraya après le dernier coup de feu et le bébé resta debout, cramponné aux bords du berceau, les yeux fous, hurlant à pleins poumons.''

 

La Malédiction des colombes de Louise Erdrich

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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 16:36

J'ai lu cette énorme BD autobiographique en une seule journée.

 

''Persépolis'', c'est 14 années de l'histoire iranienne entre 1980, Marjane a 10ans, et 1994, année de son exil vers la France, depuis, au début,  les idées et les préoccupations d'une petite fille qui ne comprend pas vraiment ce qui se passe, et s'emballe comme une ado peut le faire, mêlant, à la réalité, ses héros de lecture, pour se terminer sur les tribulations sociales et amoureuses d’une jeune femme et son exil définitif vers une nouvelle vie.

 

Tout commence avec la révolte contre  le Shah, ce dictateur bien vu des occidentaux, et la montée de l’intégrisme religieux entrainant des modifications drastiques dans la société iranienne surtout dans les relations entre les hommes et les femmes*.

*Ce qui surprend c'est  l’empressement des jeunes filles à accepter ces changements.

 

Survient ensuite la guerre avec l’Irak et ses millions de morts, souvent très jeunes et enrôlés de force et, pour les civils, la peur des bombardements et  des SCUD*.

*Engins balistiques

 

Les parents de Marjane, apeurés par la situation dangereuse, décident  d'exiler l'adolescente en l'Autriche chez une parente qui s'avère plus ennuyée qu'intéressée et refuse de s’en occuper. Elle se retrouve complètement abandonnée à 14 ans dans un pays étranger où elle connaitra ses premiers amours et de grandes déceptions.

 

Malheureuse, elle retourne 4 ans plus tard dans son pays, toujours sous la répression islamique, qui l’oblige à se marier pour pouvoir fréquenter son petit ami.

Cette union ne lui apportera que des désillusions suivies d'une séparation et de son départ vers l'Europe.

 

Il est évident que Marjane a eu la chance d’être issue d’une famille aisée et moderne, où la gentillesse des deux parents s’allie aux idées progressistes de sa grand-mère.

 

Une BD en noir et blanc où se mêlent violence et humour, et malheureusement souvent humour dans la  violence, que renforce les dessins un peu naïfs voire sommaires.

 

À conseiller pour comprendre la situation passée et présente de ce pays.

 

Persépolis de Marjane Satrapi, L’Association, 2007, BD Histoire

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

 

Le bémol du Papou : Surprenant ! Cette famille proche*, aisée au temps du shah et qui semble avoir eu  peu de problèmes avec les nouveaux maitres du pays.

* J'insiste sur ''Proche'' car ce ne fut pas le cas de toute la famille.

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19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 19:55

''Vague de chaleur'' est le premier roman issu de la série télévisée..

 

Dans une ville de New York qui semble fondre comme un cornet de   crème glacée à la pistache*, Nikki Heat est appelée sur une scène de crime d'un quartier huppé où l'attendent ses adjoints ainsi que le corps écrasé d'un magnat des travaux publics qui semble avoir préféré un saut sans parachute depuis le 6ème étage plutôt que de  prendre l'ascenseur pourtant en excellant état de marche.

* Choisissez votre parfum préféré.

 

Elle voit arriver, sans plaisir*, Jameson Rook, le journaliste qui a obtenu de ses amis politiciens l'autorisation de suivre ses enquêtes.

*À ce moment-là.

 

Une rapide recherche leur apprend que la victime avait de sérieuses difficultés financières ce que confirme Noah Paxton, le directeur et dernier employé de la société. De plus, Il était marié à une ancienne danseuse beaucoup plus jeune que lui qui entretenait au moins deux aventures extra conjugales.

 

Starr, le magnat devait beaucoup d'argent à son bookmaker mais pouvait encore sauver les apparences grâce  à sa collection de tableaux, évaluée à 60 millions de dollars, dont il n'avait jamais voulu se séparer..

 

La vague de chaleur fait exploser le système électrique de la Grosse Pomme qui se retrouve plongée dans une nuit absolue et une chaleur équivalente à celle d'une fonderie.

 

L'appartement est cambriolé et tous les tableaux disparaissent, puis le cadavre d'une experte de Sotheby est retrouvée dans sa voiture ainsi qu'une grosse bague d'homme dont la marque avait été constatée sur le corps de Starr.

 

Victime d'une tentative de viol avortée à coups de fer à repasser brûlant sur son agresseur, Nikki se retrouve sous la protection involontaire de Rook ce qui va les entraîner dans des relations tumultueuses et sexuelles*.

*Enfin.

 

Il va falloir toute l'intuition de Nikki et les recherches minutieuses de ses acolytes pour démêler cette sordide affaire et trouver celui qui élimine ses complices les uns après les autres.

 

Vague de chaleur de Richard Castle, City Editions, 2010, 256 pages, Policier

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

 

Le bémol du Papou : Ce n'est pas un roman transcendant mais j'aime bien.

 

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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 09:24

Admettez que cela fait bien longtemps que je ne vous avais pas reparlé du nouveau concept d'overblog et je suppose que certains d'entre vous attendent les résultats des explorateurs courageux avant de faire le saut.

 

Comme je vais m'absenter de la toile pour quelques jours histoire de quitter la pluie périgourdine pour la neige québécoise*, je voudrai vous faire part de la situation actuelle d'un kiwiman pas encore kiwifan.

*Maso je suis, je pourrai aller à Tahiti, non ?

 

Si vous me suivez, vous avez dû vous rendre compte que j'ai réussi péniblement à mettre deux billets en ligne avec des images placées où je le voulais, ce qui est déjà un immense progrès.

 

Je vais être honnête, sans l'Héritière et son Doudou* qui ont pratiquement élaboré le premier des deux, j'aurai déjà balancé l'ordinateur, avec overblog et son kiwi, par la fenêtre. D'accord, la maison est de plein pied et la casse aurait été réduite, mais, cela m'aurait permis de le changer**, vu qu'il rame comme un gondolier qui a embarqué quatre éléphants***.

* Autrement nommé Escargolio du Kikimundo

**À dix ans, il est bien vieux. Heureusement que les humains sont fonctionnels un tout petit peu plus.

*** C'est possible. Rappelez-vous la chanson ''Pends-moi'' :

Comment met-on deux éléphants dans une dauphine à toit ouvrant ?

On en met deux derrière et les deux autres devant.

 

Je m'épivarde. Le deuxième billet a été entièrement conçu et réalisé par moi*.

*Applaudissements ! Merci.

 

Aujourd'hui, je vais vous donner deux conseils :

Ne vous trompez pas de touche sinon vous allez pédaler dans la schnoutte. Il faut convertir en HTML avant d'écrire votre article et non après*, pour avoir accès à d'autres polices que celle, unique et trop petite, du site.

*Sous toutes réserves, j'aurais dû vérifier mais je n'ai pas eu le courage.

 

Pour joindre les images, il vous faut cliquer sur l'icône ''insérer l'image'', et sur l'endroit prévu pour la mettre, trouver l'URL de celle-ci sur le net et la copier directement dans la case qui s'est ouverte. En cliquant sur la droite de la souris vous pourrez ensuite choisir l'endroit où vous voulez la placer et sa taille.

 

Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Enfin presque, le signataire de la présente décline toutes responsabilités, n'étant ni un programmeur, ni le concepteur du kiwi, pour tout incident qui vous enverrait en Nouvelle Zélande*.

*Le pays des aptérix (autrement nommés kiwis)

 

 

 

 

 

 

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13 mai 2013 1 13 /05 /mai /2013 18:41

Un petit détour dans un roman jeunesse pour reposer ses neurones*.

*C’est comme pour le reste, moins on en a, plus on en parle

 

Alexander 15 ans, Nadia 13 ans et Kate Cold la grand-mère d’Alexander, journaliste au National Géographic, écrivaine et grande fumeuse nous entrainent dans une nouvelle aventure.

Dans le tome précédent, Alexander avait connu Nadia en Amérique du Sud où ils auraient rencontré ‘’Le peuple des brumes’’ et, semble-t-il, des animaux préhistoriques*.

* Je ne l'ai pas lu mais ça ne m'a pas dérangé pour  celui-là.

 

Cette fois-ci, Kate demande à son petit-fils de l’accompagner dans un reportage au pays du Dragon d’Or. Ce petit pays, qui se cache dans l’Himalaya, est dirigé par un Roi qui souhaite conserver la paix pour son peuple loin de la modernité, du matérialisme à tout prix et de l’argent facile.

L’emblème de ce Roi est la statue d'un Dragon d’Or qui l’aiderait à prévoir l'avenir. Ce magnifique joyau est convoité par le 2ème homme le plus riche de la planète.

 

Vous connaissez maintenant les ingrédients de ce livre d’aventures.

Ajoutez-y une tribu de Yétis, les Scorpions, une secte d’assassins aux poignards, un aventurier sans scrupule, une organisation mafieuse et des héros capables d’utiliser leurs animaux totémiques pour se défendre et vous passerez un beau moment si vous avez gardé votre âme d’enfant.

 

Le royaume du Dragon d'Or d'Isabel Allende, Le livre de poche, 2006, 320 pages, Jeunesse

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

 

Le bémol du Papou  : Kate est un beau personnage malheureusement laissée dans l’ombre car nous sommes dans un roman où les jeunes, remplis de bons sentiments, sont les héros d’aventures extraordinaires.

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13 mai 2013 1 13 /05 /mai /2013 11:20

 

Cela fait quelques mois que j'avais noté cette auteure dans ma liste à lire pour plusieurs raisons. Elle écrit des romans policiers qui se passent au Québec et elle semble plaire à des lectrices qui ne sont pas forcément portées sur ce genre.

 

Dans le petit village de ‘’Three Pines’’ près de la frontière américaine, Jane Neal a été mortellement atteinte d’une flèche, provoquant la désolation des habitants qui aimaient bien cette ancienne institutrice pourtant un peu bizarre. Aucun d’entre eux, même sa grand amie Clara, n’avait jamais été invité à l’intérieur de sa maison ni vu aucune de ses peintures. Pourtant juste avant sa mort, elle avait accepté qu'une de ses toiles, au cachet plutôt enfantin, soit présentée à une exposition.

 

L’inspecteur chef Gamache et son équipe hésite entre un accident de chasse et un meurtre et sont plonger dans l’ambiance d’un petit village à majorité anglophone où tout le monde se connaît et semble s’entendre, à l’exception de la nièce de la victime.

 

Il est évident, dès le début, que le tableau intitulé ‘’Jour de foire’’, peint le jour du décès naturel d’une autre villageoise âgée, Timmer Hardley, va avoir une certaine importance dans cette enquête. Je me suis fait rapidement une petite idée sur le comment et le pourquoi mais je n’ai jamais trouvé le qui.

Mais alors, me direz-vous, (car je vous connais, vous pouvez être d’une curiosité malsaine) si tu a résolu dès le début une grande partie de l’énigme, le roman conserve-t-il un certain intérêt ? Sans barguigner*, je vous réponds, oui.

* Je voulais placer ce verbe depuis des lustres

 

Le plus important reste les personnages hors du commun et l’ambiance presque fraternelle de ce petit village un peu perdu dans les collines boisées des Cantons de l’Est, avec son club de tir à l’arc et sa forêt que parcourt de nombreux chasseurs.

Alors accident ou meurtre ?

 

Devant Gamache, le calme enquêteur plus observateur que jaseur, on rencontre une poétesse acariâtre, une ex-psy noire fatiguée de son ancien métier devenue bibliothécaire, quelques artistes avec ou sans talent, un couple d’homosexuel qui a trouvé la paix*, une ancienne conservatrice de musée. Certains se connaissent depuis l’école où la victime avait officié, d’autres sont venus rechercher la paix de l’âme dans ce lieu hors des sentiers battus.

* Enfin presque.

 

Voici un endroit, qui sent bon le thé, les muffins et la réglisse, où on a très envie de s’y pelotonner dans un vieux chandail confortable.

 

J’en reprendrai bien un peu, réchauffez ma tasse et offrez-moi un muffin aux canneberges*, s’il vous plait.

* Cranberries pour ceux de l’Hexagone.

 

En plein cœur de Louise Penny, Flammarion, 2010, 336 pages, policier

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

 

Le bémol du Papou : J'ai trouvé que l'auteure en rajoutait un peu trop sur les défauts de la jeune enquêtrice.

 

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 09:29

Philip K. Dick est l’auteur du roman ‘’Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques’’ (que je n’ai jamais lu*) et qui, porté à l’écran sous le titre* de ‘’Blade Runner’’ est devenu un de mes films ''culte''.

 

Je voulais lire quelque chose de cet auteur. Je n’ai pas dû choisir le bon roman ou je n’étais dans de bonnes dispositions. J’ai bien peur que les aficionados de Dick me crucifient puisque je n’ai guère apprécié cette histoire pourtant considéré comme un de ses chef-d’œuvres.

 

Le seul intérêt que j’y ai trouvé est l’idée d’une uchronie dans l’uchronie, ce qui est compliqué et difficile à résumer.

 

Nous sommes dans les années 1960. La guerre mondiale a été gagnée par les forces de l’Axe. L’Allemagne contrôle toute l’Europe, après avoir génocidé** le peuple russe, et détruit les populations africaines, elle a commencé des voyages spatiaux vers la lune et Mars.

Le Japon domine toute l’Asie et l’Océanie.

Les Etats-Unis d’Amérique, (si j’ai bien compris***), sont partagés en trois régions affaiblies, l’ouest nippone, l’est germanique et un territoire tampon plus ou moins libre où a été édité un livre qui raconte l’uchronie d’une guerre perdue par les forces de l’Axe.

 

Pour le reste je me suis perdu dans les méandres d’une philosophie asiatique inintéressante, dans des pensées incompréhensibles**** et des réactions surprenantes de personnages et dans les tentatives bijoutières d’un juif renégat et peureux.

 

Je me suis retrouvé dans le même état d’esprit qu’en lisant les romans d’espionnage de John Le Carré ; c’est trop compliqué et trop sibyllin pour mes pauvres neurones.

 

Je n’aurais pas dû utiliser ma liseuse pour approcher cet auteur. Mauvais choix de livre, mauvais choix de support et mauvais moment pour le lire, trois prises***** contre, au base-ball, on est ‘’out’’.

 

Je dois avouer que Dick a le génie de créer et de faire évoluer des mondes complexes mais qui me paraissent destinés d’avantage au cinéma qu’à la lecture.

 

  1. * peur d’être déçu ? Je crois que je ne le saurai jamais. * Je préfère le titre original.
  2. ** Le terme existe... si je le veux
  3. *** Rien n’est moins sur !
  4. **** Pour votre humble serviteur
  5. ***** Pour les Français amateurs de ce sport : ‘’strikes’'

PS: Ayant reçu de nombreuses voire innombrables plaintes sur ma manie de placer mes *notes après chaque paragraphe, voici ce que cela donne quand elles sont à la fin du billet. Hum ! Je reste perplexe.

 

''Le Maître du haut-château'' de Philip K. Dick, J'ai Lu, 1962, 320 pages, Uchronie.

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

 

Le bémol du Papou : Je n'ajouterai rien.

 

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 09:47

Pas sur !

 

Je viens de publier un nouvel article en réussissant à insérer une image à l'endroit que je le souhaitais* et pourtant je ne suis pas satisfait.

*Au début du texte

 

Il m'a fallu une semaine pour arriver à mettre cette photo mais si vous comparez cet article avec le précédent, vous vous apercevrez qu'il va vous falloir une loupe.

 

Si je convertit en HTML pour avoir le choix d'une police et de sa taille, je n'arrive pas à placer l'image où je veux ni à choisir sa grandeur.

 

Pour choisir la taille et l'endroit, j'ai dû garder la police automatique.

Ça ne plaide pas en faveur d'une continuation sur ce site,

 

À suivre...

 

 

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