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Un livre vit grâce à la recommandation passionnée qu’en fait un lecteur à un autre.

Henry Miller

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Nouvautés dans ma PAL

Le dernier homme de Margaret Atwood

15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 16:16

Citations

 

Sur une idée de Chiffonnette

 

 

''Dès le premier film, ‘’Le goût du riz au thé vert’’ j’avais été fasciné par l’espace de vie japonais et par ces portes coulissantes refusant de pourfendre l’espace et glissant en douceur sur des rails invisibles. Car lorsque nous ouvrons une porte, nous transformons les lieux de bien mesquine façon…Si on y réfléchi bien, il n’y a rien de plus laid qu’une porte ouverte.''


‘’ L’élégance du hérisson’’ de Muriel Barbery  (eh oui! encore)

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 14:38

Citations

 

sur une idée merveilleuse de Chiffonnette

 

'' C'était l'hiver sur Belleville et il y avait cinq personnages. Six, en comptant la plaque de verglas. Sept, même, avec le chien qui avait accompagné le Petit à la boulangerie. Un chien épileptique, sa langue pendant sur le côté.''

 

'' La fée carabine '' de Daniel Pennac

 

Par Le Papou (en Périgord)

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3 septembre 2011 6 03 /09 /septembre /2011 18:27

Ce blog va être silencieux pendant quelques jours, le temps de faire une traversée aérienne, de prendre quelques jours de vacances dans une île que je ne connais pas encore. Il n’y a pas que mes neurones qui ont besoin de repos, mes yeux aussi.

Ensuite, quelques semaines en Périgord, à ramasser des figues, des noix et des noisettes, à boire du pineau et déguster confit d’oie, foie gras et autres repas style Mc Do.

 

Ah ! Ils n’ont pas de foie gras chez Mc Do ?

 

À bientôt !

 

Le Papou

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2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 14:35

Je souhaitais mette mes petits neurones fatigués en vacances en leur trouvant une lecture facile après un mois d’août où j’avais l’impression de les avoir fait travailler comme des forçats.


En parlant de forçat, connaissez vous Vidocq ?

Ce chef de la Sureté  (chef d’une police, donc)  sous la restauration, en était un ancien. Je serais fort étonné que cela puisse arriver de nos jours.

Rappelez-vous : Victor Hugo l’a utilisé comme modèle pour son personnage de Vautrin dans ‘’Les  misérables’’.


Vidocq donc et non Vautrin est l’un des ‘’héros’’ de cette aventure rocambolesque.

 

Il existe de nombreuses énigmes qui permettent à des auteurs de faire preuve d’imagination et d’inventer des solutions dont on ne pourra jamais apporter la preuve…évidemment! puisque ce sont des énigmes.

Je m'étonne toujours de mon sens de la déduction intuitive.

 

Bayard1.jpgL’une d’entre elle concerne le fils de Louis XVI, dont la mort ne fut jamais prouvée en son temps.

Que lui ait-il arrivé ? A-t-il survécu ? Si oui, qu’est-il devenu ?

 

Un homme est assassiné. Caché dans ses vêtements on trouve le nom et l’adresse d’Hector Carpentier, un assistant de laboratoire qui ne connait pas la victime.

  

À partir de ces évènements, Louis Bayard nous concocte un roman qui se veut épique, dans lequel je ne me suis jamais senti à l'aise.

J’aime bien m’insérer dans la peau du héros. J’ai déjà été, dans d’autres vies, D’Artagnan, Zorro ou Edmond Dantès. Là, je ne me suis senti aucune affinité avec l’outrecuidance, la saleté et le sans-gêne de Vidocq ou avec la fadeur de l'ectoplasme Hector.

 

 

Pourtant l’histoire était prometteuse, mais tout au long du récit j’ai été déconcerté, énervé, voir dérangé par un style qui se voulait moderne et des expressions qui devaient être anciennes puis qu’inconnues de mes fameuses neurones en congés?

 

Vous voulez des exemples ? :

Le son de ma voix anéantit tout espoir de réponse. Car braillante (?) et bêlante, elle me trahit et révèle le fruit frémissant caché dans son sein (?).* 

Une voix braillante qui cache un fruit frémissant dans son sein, là, j'ai besoin d'un grammairien et d'un poète postmoderne pour quelques explications

 

Une clarté de pissenlit ratatine les nuages (?). Celle-là, j'essaie encore de la comprendre

 

Un nuage de poussière s’élève en ronronnant au contact de ma main (?). Je l'ai lu à Bidou** qui m'a dit : '' Si tu me compare à des poussières, je vais te ronronner un coup de patte, griffes sorties.''

 

C’est le véhicule qui, arthritique jusqu’aux jantes (?) s’en charge, recrachant pierres et poires pourries sur le chemin de la ville.

On parle, là, de voiture à cheval, ce dernier peut avoir certainement de l'arthrite aux jambes (c'est l'appellation officielle de leurs membres) mais de l'arthrite aux jantes des roues d'un carosse, je suis subjugué.


 Bon ! J’arrête là mes apartés sur le style! 


L’idée de faire revenir le Dauphin était bonne, les aventures et les solutions intéressantes mais pour le reste la déception fut à la hauteur de mes attentes et la fameuse clarté des pissenlits a ratatiné, non les nuages, mais mes neurones fatiguées.

 

Dommage !

 

Karine et Soukee ont aimé, Ys a eu des commentaires plus proches des miens.

Voici leurs billets:  Karine, Ys et Soukee

 

* Les ? sont de moi.

** Mon chat.

 

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

par Le Papou 

 

 

Le bémol du Papou :

Étant donné les qualificatifs dithyrambiques des journaux états-uniens, et ceux qui l’étaient  tout autant de 3 journaux ou périodiques français, j'ai pensé que mes neurones, profitant de leurs vacances, ne fonctionnaient que par intermittence, jusqu’au moment ou je me suis aperçu que les compliments  français concernaient un autre roman de l’auteur (?).

Les éditeurs ne savent vraiment plus quoi inventer pour vendre leur production.

 

Le conseil du Papou pour de futures promotions : Mettre d'excellentes critiques d'un auteur pour en promouvoir un autre. (?)

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1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 16:03

CitationsSur une idée de Chiffonnette

(ouf!)

 

 

''Tous, candidats députés, candidats maires, jusqu’aux candidats conseillers municipaux, trouvent les moyens de taxer les hommes d’affaires qui donnent à chacun quelques subsides parce qu’ils attendent le retour d’ascenseurs…''


Le Che s’est suicidé de Petros Markaris.

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1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 15:02

coeur54

 

N'arrivant pas à exprimer mes sentiments sur une lecture, Il m’arrive de modifier, raturer ou recommencer un billet.

Ce fut le cas pour celui-là et je n'en suis toujours pas satisfait.


Lorsqu’on choisit un livre, on ne sait jamais si on va être heureux. C’est comme effeuiller une marguerite*.

Le plus dérangeant, quand vous tombez sur passionnément ou à la folie, c’est de ne pas savoir qui vous aimez et, dans un livre pourquoi vous l’avez aimé.

Le cœur à ses raisons que la tête ne reconnait pas toujours.

 

Hagena1

 

C’est l’histoire d’une famille, les grands parents, Hinnerk et Bertha, leurs trois filles, Christa, Harriet et Inga, Rosemary la fille d’Harriet et Isis la conteuse et la fille de Christa.

 

 

C’est une histoire d’amitié et d’amours enfantines.

C’est surtout une histoire de femmes où les hommes ne sont que des initiateurs ou des faire-valoir. 

 

C’est l’histoire d’un amour naissant, ou plutôt de deux amours naissants. Ceux d’Isis, pour la maison que sa grand’mère lui a léguée et pour Max qu’elle a connu enfant, pendant les vacances d'été passées dans cette maison.

 

C’est l’histoire d’une mort, ou plutôt de deux morts. Celle de la grand’mère qui a perdu la tête à la fin de sa vie et celle de Rosemary, la cousine, disparue à 16 ans.

 

C’est l’histoire d’une absence ou plutôt de deux absences, celle de Rosemary, mais aussi celle de Mira, la sœur de Max, qui n’est jamais revenue sur les lieux de son enfance.

 

C’est surtout l’histoire d'une enfance, de l’empreinte qu’elle  laisse et des souvenirs, certains latents ou oubliés, qu’une image, une odeur ou un geste font renaître.

C’est l’histoire de l'éternel recommencement de la vie et de la mort, virtuel ou réel.

 

Dans cet entrelacs de sentiments, de souvenirs, et d’actions passées ou présentes, Isis se raconte, se pose des questions, trouve quelques réponses, mais pas toutes, sautant du présent au passé, et mêlant souvent les deux comme le fait naturellement celui qui réfléchit. 

 

Voilà un livre coup de cœur dont je suis bien en peine d’expliquer pourquoi. Peut-être tout simplement parce qu’il m’a rappelé mon enfance et qu’à l’automne de la vie, ce qui n’est pas, notez-le, la saison d’Isis mais la mienne, il ne nous reste que cela où presque, les souvenirs.

 

Quelque soit notre passé, la vie continue, inexorable et le manège tourne, naissance, enfance, vie et mort.

 

Le blogomonde en a beaucoup parlé en bien, Abeille, Anis, Céleste, Chaplum, Lounima, Marie et j’en oublie certainement. Que les oublié(e)s me pardonnent, ainsi queLeiloona dont j'ai été incapable de trouver le billet.

 

*Rappelez-vous : un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout.

 

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

par Le Papou 

coeur54

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30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 15:32

Voici une excellente recette apprise pendant les dernières vacances dans le royaume de Madawaska.

Mais restons honnêtes, il semblerait qu'elle existe un peu partout, chez les Acadiens.


Il vous faut :

1 tasse de farine blanche

2 tasses de farine de sarrasin

2 tasses d'eau froide

1 c/thé de sel fin

2 tasses d'eau bouillante

2 c/thé de poudre à pâte*

 

 

 
Mélanger longuement les deux farines et l'eau froide.

Verser l'eau bouillante en s'assurant de brasser continuellement.
Ajouter la poudre à pâte et bien mélanger.


Laisser reposer au moins une demi-heure.


Faites chauffer une poêle beurrée légèrement.
Avec une louche, verser le mélange dans la poêle chaude, l'étendre avec le dos de la louche.
Laisser cuire.
Ne jamais retourner une ploye, elle doit être cuite d'un seul côté avec pleins de petits trous.

 

La ploye se mange avec tout ce qui peut accompagner une galette de sarrazin, du salé ou du sucré.

 

Tenez! le matin, une ploye chaude avec un oeuf miroir à cheval ou du sirop d'érable.

Le midi, les ployes chaudes remplacent le pain et le soir, souper léger avec cretons et ou fromage en terminant avec de la crème glacée.


 Bon! Vous n'êtes pas obligés d'en manger à chaque repas, ce ne sont que quelques idées.

 

 

  * Utiliser ''La levure Alsacienne''

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29 août 2011 1 29 /08 /août /2011 14:59

Mon opinion, sur un livre, reste celle d'un lecteur et mes critiques demeurent personnelles.


La preuve :

Ce livre a obtenu le grand prix du livre de la Montérégie, catégorie fiction jeunesse, niveau secondaire.

  

La foule innombrable qui lit mes chroniques sait combien la ‘’brume’’ m’a causé de désagréments pendant les vacances. Je n’aurais peut-être pas dû me lancer dans une lecture qui comportait ce vocable. Il était évident qu’il faudrait une histoire de qualité pour me la faire oublier.

Raté.


D’abord, et cela aurait dû être favorable au roman, la brume n’apparait nulle part dans le livre. Pourquoi ce titre alors ? Voulait-on faire un rapprochement imagé avec la situation mentale du principal personnage ?


Ensuite, c’est un livre ‘’jeunesse’’

Quand j’écris livre ''jeunesse'', je fais allusion au genre littéraire, non à l’œuvre de l’auteur qui, selon son éditeur, ‘’avec plus de trente ans de carrière, à contribuer au patrimoine littéraire québécois.’’

N’ayant rien lu d’autres, il me faut supposer que ‘’Perdu dans la brume’’ en est l’exception.


Le style est correct, les relations entre grand-père et petit-fils crédibles, pourtant, dès le début, la situation m’a paru difficile à accepter. Je conçois que certaines familles soient complètement dysfonctionnelles et que la réalité dépasse souvent la fiction mais l'exagération n'augmente pas la crédibilité.


Je rRenaud1.jpgésume : Hugo à 16 ans, son père l’a abandonné quand il avait 4 ans pour des r aisons brumeuses (?)

(Tien s la brune se trouvait peut-être là)

Sa mère, sans lui donner de raisons (?), le jette littéralement chez son grand-père paternel qu’il n’a jamais rencontré (?).


Je ne vous donnerai pas, bien sur, les éclaircissements donnés à la fin. Il fallait que cette histoire se termine en guimauve rose, jeunesse oblige, mais la vie, en général, n’est pas de la guimauve et le faire croire à un lectorat d'adolescents, en recherche de vérité, ne parait pas très sérieux.


J’oubliais, ‘’Perdu dans la brume’’ fait l’apologie de la chasse à la sauvagine (gibier à plumes). Je ne chasse pas et je ne suis pas viscéralement contre*, pourtant, nous expliquer en détails le nettoyage des armes, l’entraînement, les règles et les lois, les explications sur les endroits, les moments favorables etc. n’apportent rien à cette histoire, sinon à gonfler la pagination.

 

 

par Le Papou

 

Le bémol du papou :

*Qu’une jeune adolescente qui elle l’est, devienne presque une adepte par amour. Là, J’ai dû rêver !

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28 août 2011 7 28 /08 /août /2011 17:49

 

De Baddeck à Marshfield (banlieue de Charlottetown), notre périple continue selon nos conditions initiales : pas d’autoroute, promenades le long de la côte avec panoramas et traversées de petits ports ou de villages.

SDC12783.JPG

Nous nous perdons dans Antigonish, ce qui nous permet d’apprécier accidentellement et trop rapidement cette jolie petite ville, puis remontons jusqu’à Cape George Point, un des nombreux ‘’bouts du monde’’ dont nous avons fait notre spécialité.*


Après New Glasgow, nous évitons adroitement et sans le vouloir la cité de Pictou, puis passons par Tatamagouche où nous reviendrons souper dans une imposante taverne, ‘’L’Acadien’’, pleine à craquer, et dont le nom est démentie, à première oreille,par l’absence totale de francophones.

Pétoncles et palourdes sont encore au menu.. 


Nous dormons 20 km plus loin, à Wallace, dans un ''Couette et Café''** confortable et après un petit déjeuner copieux, certains diraient over copieux mais ce n’est point là mon langage habituel, nous repartons pour l’île du Prince Edward.


SDC12786.JPGLa traversée du pont de la Confédération était l’un de nos buts et un de nos désirs profonds pour ce voyage. Ce pont, qui depuis sa construction en 1997 a désenclaver sérieusement l’île, laquelle commercialement n’en est plus une, surplombe sur 12,9 SDC12784.JPGkm le détroit du Northumberland.

Honnêtement c’est une sacrée œuvre d’art. (Pour les détails techniques voir le site internet http://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_de_la_Confédération)

Nous l’avons traversé, admiratifs, même s’il n’y a rien voir, et cette fois-ci la cause ne fut pas la brume mais l’interdiction normale de s’arrêter.


Nous avons continué en suivant la côte sud, pour ensuite nous installer dans Chalottetown, un imprévu qui fera l’un des sujets de la chronique finale de ce voyage.

 

Notre premier contact avec la Capitale de l'île est décevant. Un petit vent frisquet et la quasi désertion des habitants dans le centre ville n'améliorent pas notre humeur.  Nous décidons de nous offrir un tour en autobus à deux étages mais évitons l’étage supérieur, à découvert.


La guide, qui pourtant parlait un excellent français à l'achat de nos billets, fait tout son speech en anglais. Je traduis de temps en autre pour finalement me rendre compte qu’elle parle beaucoup mais qu’il n’y a pas grand-chose à voir et à traduire sur cette capitale d’à peine un peu plus de 32 000 habitants.

010.JPGAprès le centre des arts, la Chambre des députés, la cathédrale et l'université, nous avons droit à quelques belles maisons (des richards du coin) et au dernier immeuble construit offrant des chambres aux étudiants.011.JPG

Nous apprenons, quand même, que la province compte un peu plus de 135 000 âmes et que les températures s’échelonnent entre – 20 et + 20. (Celsius).


SDC12793.JPGLes deux jours suivants,nous visitons transquillement l’île. D'abord vers l'ouest, passant par Kensington et Summerside puis vers l'est en direction de Souris. Nous nous promenons au milieu des champs de patates à perte de vue, cherchant à l’aveuglette, les jolis paysages et villages côtiers, car les routes principales en sont fort éloignées.

 SDC12797.JPG

 

 

 

 

SDC12806.JPGIl est dommage que ces pittoresques petits villages portuaires et ces magnifiques paysages maritimes ne soient ni annoncés ni mis en valeur.

009.JPG

 

 

 

 

Nous passons par la région de Cavendish que plusieurs jaloux et jalouses de notre voyage nous avaient demandé de visiter. Région où se déroule le roman de Lucy Ann Montgomery, ‘’Ann…et la maison aux pignons verts’’.

 

En fin de journée, un soleil radieux et une belle température nous permet enfin d’admirer Chalottetown qui, finalement s'avère une cité agréable avec ses te014.JPGrrasses ouvertes, son animation musicale et même son petit festival où quelques spectateurs apprécient les musiciens et le bord de l’eau.


 015.JPG

Quelques petits magasins, une longue promenade aménagée le long de la mer et un souper sur une terrasse, nous réconcilie avec cette petite ville.

 

 

Le Papou (en voyage)

 

* Nous leur donnons un autre qualificatif que mon sens moral m'interdit de mentionner ici.

** Je préfère à B. & B. surtout en milieu anglophone.

 

Prochaine chronique : Moncton, dernier petit tour sur la baie de Fundy   

 


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25 août 2011 4 25 /08 /août /2011 14:36

Je voudrai immédiatement présenter mes plus humbles excuses auprès de Chiffonette et de ses nombreux admirateurs afin d'éviter les mises en demeure livresques et les duels, au petit matin, à coups de citations.

Nous devons, depuis maintenant les temps préhistoriques, ce qui n'arrange pas son âge ni le mien, les citations du jeudi à

CHIFFONETTE 

et non à Choupinette comme mon esprit, profondément troublé par un épisode des aventures de Casimir et mon estomac, par une trop grande absorbtion de gloubi-boulga, a pu le mentionner lors de ma dernière citation. 

Je voudrai aussi présenter les mêmes (excuses) à toute la famille de Madame Choupinette, que j'ai eu le privilège de rencontrer, pas la famille mais l'intéressée :

il ne s'agit pas d'un cas de coup-de-foudre impromptu et inopiné.

Nous avons là une simple erreur d'inattention dûe à la similarité des noms, erreur déjà commise et rectifiée avant publication, pas cette fois malheurusement.

Qu'on se le dise, je les aime toutes les deux et je les embrasse avec l'accord de mon éternelle fiancée.

Le Papou embarrassé

 


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