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Un livre vit grâce à la recommandation passionnée qu’en fait un lecteur à un autre.

Henry Miller

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Nouvautés dans ma PAL

Le dernier homme de Margaret Atwood

10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 21:18

Petites recettes de crevettes, vite faite :

 

Ingrédients pour 4 personnes :


12 à 15 crevettes par personne

12 à 15 crevettes par personne

1 boite (200ml) de lait de coco

3 c/soupe de cucurma

1 c/soupe de  curry

4 ou 1/2 boites (400ml) tomates en dés

2 gousses d'ail

1 petit oignon

1 petit morceau de gingembre de 5 cm (2 Po)

1 c/soupe de farine

Huile et/ou  beurre

Sel & poivre

 


 

Hachez l'ail, l'oignon et le morceau de gingembre.

Dans une casserole, faites les revenir dans un peu d'huile ou un mélange huile et beurre.

Quand le tout est translucide, ajouter les tomates, le curry et le curcuma, mélanger, laissez mijoter 4 à 5 minutes à feu doux.

Ajoutez le lait de coco et remettez 2/3 minutes sur le feu.

Ajoutez la farine, mélangez, puis jetez-y les crevettes, salez et poivrez et laissez cuire 3/4 minutes de plus.

 

Servez avec du riz blanc ou des pommes de terre à la vapeur.


Vous pouvez remplacer les crevettes par des pétoncles, des coquilles st-jacques, du calamar etc.. ou du poisson dont la recette est ici.


 

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 17:37

McCallSmith1Un des premiers livres que j’ai noté dans ma LAL, il y a maintenant près de trois ans, la faute à Karine, à Lounima* et à une couverture magnifique.

*Je crois, car je n’ai pas retrouvé son texte.***

**  Publicité gratuite

*** Elle me l'a envoyé et vous le trouverez ici.


Certain(e)s commencent toujours leurs billets par : Pourquoi ce livre ? Exceptionnellement, je vais le faire aussi.

 

Je vous ai déjà donné deux raisons. Il en existe une troisième, la principale, que vous connaissez peut-être si vous me lisez avec attention : j’aime l’ethnologie, la sociologie et l’anthropologie et je suis toujours partant pour découvrir une nouvelle région du monde.

 

D’accord ! Ce n’est pas un vrai roman policier. D’accord ! Les enquêtes nemarabout.jpg cassent pas 3 pattes à un marabout*. D’accord ! La peinture que fait l’auteur du Bostwana est un peu naïve et alors ? A-t-on jeté le Douanier Rousseau dans le premier marigot venu sous le prétexte de naïveté.

*Expression africaine équivalente à trois pattes à un canard.

                                                                                                                                                                                                marabout

Dans quel thriller americano-europeo-asiatique peut-on rencontrer un crocodile mangeur d’hommes, un sorcier tueur d’enfants pour fabriquer des muti*, des jumeaux docteurs dont l’un ne l’est pas, un cobra de trois mètres qui se réfugie dans le moteur d’une camionnette en marche et surtout, surtout, un mécanicien qui sait réparer les automobiles.

* Médecine traditionnelle

 

De plus, si on prend le temps de lire ce petit bijou, on peut en tirer des pensées très philosophico-africaine* sur la femme, son alter égo, l’homme, sur l’évolution des mentalités dans certaines parties de ce continent, sur les coutumes du Bostwana et sur la fierté de cette population devenue libre dans les années 60 du siècle dernier.

*Qui n,engagent que l'auteur du livre, pas celui de ce billet.

 

Karine en a perlé là.

 

PS: Pour éviter un billet anormalement long, vous aurez, en ligne bientôt, un autre texte avec quelques passages et des informations succintes sur le Bostwana..

 

Mma Ramotswe détective d'Alexander McCall Smith, Éditions 10/18, 250 pages, Détective.

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

par Le Papou

 

Le bémol du papou : La décision finale de Mma Ramotswe ne correspond pas à la personalité qu'elle démontre pendant tout le livre.


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9 novembre 2012 5 09 /11 /novembre /2012 15:13

J'ai pris la brique ce matin : six cent soixante neuf pages en grand format.

 

Si l'histoire est intéressante, cela va me prendre qund même un certain temps et si elle l'est juste suffisamment pour que je ne l'abandonne pas, un temps plus que certain.

 

De cette situation découlent deux corollaires :

- Je ne pourrai envoyer des billets à peu près régulièrement. Heureusement je dois en avoir deux presque prêts, mais presque veut dire que je dois les lire et les relire encore et encore avant de les envoyer.

- Je vais être moins présents sur la blogosphère pour vous écrire ou vous répondre, ce qui me désole mais c'est pour la bonne cause. (voir ci-dessous)

 

À très bientôt

Rowling1

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8 novembre 2012 4 08 /11 /novembre /2012 14:34

  Une enquête du commissaire Brunetti

 

Leon5.jpgUn soir à Venise, sur le Campo Di Stefano, au milieu des clients, un vu comprà*, africain est abattu par deux tueurs utilisant des silencieux.

* vendeur à la sauvette


Le temps que la police et le commissaire Brunetti arrivent sur les lieux, tout le monde, sauf le cadavre, a disparu.*

* J'en connais qui aurait fait disparaitre aussi le cadavre.

Des touristes américains racontent à Brunetti ce qu’ils ont vu (pas grand-chose) et surtout entendu, (presque rien) juste fitt fitt fitt.*

 

*ou zip,zip selon un autre témoin, mais en tout cas pas pan,pan.


 

C’est ainsi que notre commissaire comprend que l’homme a été exécuté par des tueurs à gages. Qui pouvait vouloir éliminer un de ses pauvres hères qui étalent, à la nuit tombée, leurs marchandises de contrefaçon sur les parvis et les plazzas  ?

Avec Donna Leon, le lecteur suit les pensées de l'enquêteur, participe à son enquête, subit ses problèmes avec la hiérarchie et ses tribulations conjugales, telle la querelle entre sa femme, Paola, et sa fille, Chiara, à la suite d’une parole malheureuse et teintée de racisme de l’adolescente sur les africains.


J’aime beaucoup cette série. On vit littéralement à Venise, comme dans un rêve. On la visite à pied ou en canot. On se régale de linguini con scampi*, d'orata* grillée et de pappardele con porcini*, on y boit des expressos aux noms exotiquement italiens, ristretto, corretto, macchiato, et on termine toujours avec un petit verre de grappa.

*Linguini aux crevettes, dorade, grosses pâtes aux cèpes

 

J'aime bien Brunetti parce qu'il est profondément humain, parcequ'il aime son pays en dépit de ce qu'il voit ou sait, parce qu'il est conscient de ses faiblesses et surtout parce que c'est un gourmet qui aime les mets simples.

 

Revenons-en à notre enquête, dans laquelle, sous un froid hivernal et humide, la police pataugent allègrement, jusqu’au moment où Brunetti et Vianello trouvent, lors d’une perquisition illégale*, dans la chambre de la victime, cachés dans un paquet de sel, plusieurs millions d’euros de diamants non taillés.

  * Oh! Guido !


À mon humble avis, ce n’est pas la meilleure histoire de Donna Leon. Je n’aime ni que les méchants restent impunis, ni l’idée que toutes les instances gouvernementales italiennes, incluant la police et les arcanes politiques, soient gangrenées par la maffia ou l’argent.*

* En ce moment, cela ferait rire les Québécois.


Ceci éructé, Patta, le vice-questeur est égal à lui-même, stupide, arrogant et complètement aveugle si cela doit favoriser sa carrière, Elettra, la secrétaire, toujours aussi belle et maligne avec ses fameux contacts partout dans le monde et Vianello, l’adjoint écologiste, toujours prêt à aider son commissaire aux risques et périls de sa carrière. Enfin, la famille de Brunetti, dans son ensemble apporte à ce dernier, le calme, pas toujours, et le bonheur, toujours, dont il a besoin pour supporter la violence physique ou verbale de son métier.

 

Pas la meilleure histoire de la série, ai-je déjà écrit mais cela reste un excellent voyage touristique dans un style toujours aussi clair et précis.

 

''De sang et d'ébène'' de Dona Leon, Du Seuil-Points, 327 pages, policier

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

par Le Papou


Le bémol du Papou : Les photos de couvertures sont bien sombres pour représenter cette magnifique ville colorée qu'est Venise.

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8 novembre 2012 4 08 /11 /novembre /2012 10:35

Citationssigné : Chiffonnette


 

''Le roman policier est un jeu de faux-semblant où l'auteur tient le rôle inverse de celui du détective : il ne cesse de brouiller les pistes, de dissimuler des preuves et de mener le lecteur dans des impasses pour que le criminel échappe à sa sagacité. L'auteur est toujours le complice du coupable.''

 

Le mystère Sherlock de J.M. Erre

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6 novembre 2012 2 06 /11 /novembre /2012 10:28

Mardi31

 

 

''J'étais juste devant un étal et J'examinais ces sacs quand j'ai entendu un bruit étrange, un peu comme ce fitt fitt fitt que font vos machines à expresso avec le truc pour la vapeur. Sur ma droite trois fois, puis sur ma gauche, le même bruit, deux fois.''

 

De sang et d'ébène de Donna Leon

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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 20:02

Pendant la lecture du dernier roman soi-disant comique, je n'ai pas ri.

Je me suis alors posé cette question ulta existentielle, une des plus importantes que je me sois posé ces cinquante dernières années :

Pourquoi ne ris-je pas ? Et son corollaire subséquent : qu'est-ce qui me fait rire ? 

 

Admettons tout de suite que je ne suis pas un ricaneur* maladif, des fois cela me désole parce que je ris à contretemps ou tout seul ou pas du tout. Je ris d'autant moins que je deviens gêné et rubicond, c'est à dire rouge dehors et con dedans.

*Ricaneux, au Québec.

 

Pourtant j’aime bien rire en société*. Le rire a un rôle social et j'aime la société et ne m'aime jamais autant que lors d'un fou-rire général, surtout si je l'ai provoqué.

La lecture étant solitaire, il est donc pratiquement impossible, ce faisant, de rire parce qu'on entend un autre rire. Ça dérange.

La lecture n’aurait donc aucun rôle social.

*Rire social

 

Je ris aussi dans certaines situations* qui ne sont pas forcément comique : imaginons une personne qui marche, butte dans quelque chose et s’étale de tout son long. Ce n’est pas drôle et pourtant je vais rire**, sauf si c’est moi qui prend le billet de parterre.

*Rire de situation

**Ce n’est pas bien, je sais

 

Je ris* aussi quand la chute** est imprévisible et inattendue, une bonne blague par exemple. La blague peut être idiote, cela n'a aucune importance.

Avez-vous remarqué qu'après une bonne première blague, les suivantes vont nous faire rire même si elles sont plates ?

*Rire d’absurdité

**Ce n’est pas la même que l’autre.

 

Je ris aussi quand les gens, incluant moi-même, se moquent d'eux-mêmes*.

*Rire d'autodérision

Mais pour cela, il faut du talent, beaucoup de talent et j'en connais qui en ont beaucoup plus que moi. (Hein K. ?)*

Souvent, dans mon cas je vais rire à cause du rire** des autres et non parce que ça m'amuse vraiment.

* Comme d'habitude, je ne dénoncerai pas.

**Rires communiquants


 

Soyons sérieux deux minutes, je crois que la propension à rire est directement reliée à l'éducation.

- Ne te fais pas remarqué !

- Ne te moque pas !

- Ne montre pas tes dents !

- Ne sois pas stupide !

- Arrête de rire bêtement !

J'espère que la jeunesse actuelle a été beaucoup moins inhibée que les générations précédentes.

 

Je m'arrêterais là, deux minutes de sérieux c'est déjà bien trop long.

 


 


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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 20:00

Je suis bien obligé de revenir sur un de mes deux dictons préférés, ''trop c’est comme pas assez'', pour admettre que parfois* plus on en rajoute et meilleur c’est.

*Mais,pas souvent !

 

D’abord, la lecture me fait rire très rarement.

Donc, je n’ai pas ri en lisant cette loufoquerie mais plus j’avançais et plus je m'amusais*.

*Mais sans rire.

 

Erre1.jpgÀ Meiringen, en Suisse, une avalanche s’est abattue, ensevelissant complètement l’Hôtel Baker Street où s’étaient réunis des sommités passionnées de Sherlock Holmes.  Parti chercher de l’aide, le directeur de l’hôtel revient 5 jours plus tard, en compagnie du commissaire Lestrade et du chef des pompiers, pour y trouver morts les 10 clients et la serveuse.

 

Que s’est-il passé pendant le temps où l’hôtel a été coupé du reste du monde ?

 

À l’aide des documents retrouvés, lettres de certains participants et surtout la narration écrite de la serveuse qui n’était pas que ça*, Lestrade et ses acolytes vont essayer de comprendre les évènements qui ont provoqué cette hécatombe.

*serveuse

 

Une histoire complètement loufoque*, complètement déjantée avec pour rajouter à l’absurdité, une solution bicéphale.

Qu'y trouve-t-on ? Une espagnole, nerveuse et énormément enceinte, une allemande siliconée comme une bimbo et sèche comme une vieille fille, un professeur sénile, un British fat et misogyne, un français, un hispanique, un fils, un stagiaire, un drogué et un presque nain vont se retrouver, sans électricité, sans chauffage dans cet hôtel enseveli sous l’avalanche.

*Comment, je me répète ? choisissez : cinoque, zinzin, maboul, burlesque, bouffonne, vaudevillesque et mon préféré, abracadabrantesque.

 

C’est le marché commun de la caricature, de la basse ironie, de la méchanceté tous azimuts, de la connerie, de la veulerie, des vacheries potachères* de vieillards revanchards, et des morts, encore des morts, jusqu’au dernier souffle du dernier participant. Mais pourquoi ? Et surtout par qui ?

*de potache, pas de potager.

 

Dans une étude très poussée de l’œuvre de Sir Arthur, l’auteur nous emmène un peu dans toutes les directions, nous perd dans un labyrinthe de possibilités toutes plus impossibles les unes que les autres pour enfin nous asséner une première solution mais… est-ce la bonne ?

 

Le mystère Sherlock de J.M. Erre, Buchet & Chastel, 326 pages, comique policier

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

par Le Papou

 

 

Le bémol du Papou : J’ai noté que mon théorème qui prétend qu’après avoir éliminé toutes solutions, il vous reste la bonne,  même si elle parait impossible, ne s’applique pas pour les loufoqueries.

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4 novembre 2012 7 04 /11 /novembre /2012 14:49

Le tourne-page du mois

Il y a des auteurs avec lesquels on est tout de suite à l’aise et des héros pour lesquels on ressent des affinités immédiates. Le bonheur survient quand les deux sont réunis.


Ce fut le cas avec Craig Johnson* et Walt Longmire** dès ‘’Le camp des morts’’, puis avec ‘’Little Bird’’, et ça le reste encore après ce dernier roman.

* L'auteur

**Le héros


Johnson3.jpgNormalement, Walt Longmire est le shérif du comté d’Absaroka au fin fond du Wyoming dont il ne s'éloigne que très rarement.

Il profite d’une exposition de son ami Cheyenne, Henry Standing Bear, pour se rendre à Philadelphie, visiter Cady, son avocate de fille et y rencontrer son dernier petit ami.


Avant même leur rencontre, elle est agressée et plongée dans le coma avec un pronostic médical très réservé.


Walt va passer de longues heures à l’hôpital, relayé par son ami Cheyenne ou par la mère de son adjointe Vic Moretti, qui a déjà été flic et mariée dans la ville ‘’de l’amour fraternel’’*. Il va aussi y faire la connaissance de toute la famille Moretti, tous flics sauf la mère et l’oncle de Vic.

*surnom et traduction de Philadelphie

 

Le petit ami fait ensuite un plongeon mortel du haut d’un pont et à partir de ce meurtre*, tout par en sucette***.

Notre shérif, après l’avoir un peu bousculé et s'être brisé le nez contre le poing du plongeur pontal, avait appris qu’il était bien l’agresseur accidentel de Cady mais pas celui qui, en appelant les secours, l'avait sauvée d'une mort certaine.

*Je stoole** pas, on l’apprend tout de suite.

**Stooler : (langage populaire québécois) Cafter, dénoncer, moucharder.
***Je sais, c'est très familier, mais j'aime bien.

   

Son obstination tranquille et sa fausse placidité vont amener Walt, entre deux séjours près de sa fille, à arpenter les rues de Philadelphie, une des villes les plus dangereuses des États-Unis, et à trouver les raisons de la dispute entre Cady et son petit ami et qui a tenté, sans succès, d’apprendre à ce dernier à voler sans parachute.


Meurtres, trafic de drogues et d’influences, blanchiment d’argent, corruption, collusion et un indien blanc* qui essaie de s’en sortir. Walt, doit regretter le calme des paysages des Bighorn, son intégrité physique qui prend des coups ainsi que son habituel moral positif en pensant à sa fille.

* D'où le titre.


Yue Yin en parle mieux que moi ici, Kathel, et Keisha par là, sans oublier Choupy par ici.


PS : J’ai essayé un Stetson pour ressembler à Walt, j’ai eu l’air d’un Stroumpf  blanc coiffé d’un énorme sombrero*. Si j’avais mis les bottes qui vont avec, le haut de celles-ci auraient presque touché le bas de celui-là**. Ça ne fait rien j’aime bien Walt Longmire quand même.***

* Sans les oreilles, j'étais sourd et aveugle.

** Et non je ne suis pas si petit que ça! Mais je suis né à une époque où les humains ne devenaient pas des gratte-ciel en puissance.

*** Et pas Adamsberg !

 

L’indien blanc de Craig Johnson chez Gallmeister, 290 pages, policier, 2011

*ouais ** bon *** très bon **** j'aime

par Le Papou


Le bémol du Papou : Vic et Walt, on s’y attendait un peu mais pourquoi à Philadelphie.*

*Là ! Je stoole.

 

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1 novembre 2012 4 01 /11 /novembre /2012 10:34

CitationsChiffonnette avait raison !

 

''...(le) sondage réalisé auprès d'un échantillon représentatif de mille hommes.


a) Préférez-vous coucher avec la plus belle femme du monde sans que personne ne le sache ?

b) Préférez-vous que tout le monde croie que vous avez couché avec cette femme sans que l'acte se soit réellement produit ?

 

Le résultat confirme d'une manière excessive que, dans notre société, tout n'est qu'affaire de considération des autres. En effet, 86 % des hommes interrogés ont opté pour la seconde réponse.''

 

Le potentiel érotique de ma femme de David Foenkinos

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